Être salarié : votre meilleur atout pour racheter votre entreprise (+ notre méthode en 7 étapes)
Être salarié : votre meilleur atout pour racheter votre entreprise (+ notre méthode en 7 étapes)
Être salarié : votre meilleur atout pour racheter votre entreprise (+ notre méthode en 7 étapes)
Être salarié : votre meilleur atout pour racheter votre entreprise (+ notre méthode en 7 étapes)
Votre patron vend son entreprise ? C'est peut-être le moment de passer le cap et de prendre les rennes ! On vous dit tout sur le rachat d'entreprise par un salarié.
Votre patron vend son entreprise ? C'est peut-être le moment de passer le cap et de prendre les rennes ! On vous dit tout sur le rachat d'entreprise par un salarié.
Transmission
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11
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min de lecture
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11 sept. 2025
11 sept. 2025


Juliette T.
Juliette T.
Co-fondatrice & rédactrice
Co-fondatrice & rédactrice



Sommaire
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Sommaire
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Pendant que des entrepreneurs externes cherchent désespérément à comprendre une entreprise de l’extérieur, vous en connaissez déjà tous les rouages.
Les chiffres sont éloquents : 85 % des transmissions internes réussissent, contre seulement 55 % des reprises externes. Pourtant, beaucoup de salariés pensent ne pas avoir les moyens financiers ou les compétences pour franchir le pas. C’est une croyance limitante. En réalité, votre position de salarié est probablement votre plus grand atout pour devenir dirigeant. Vous disposez d’un accès privilégié aux informations stratégiques, de la confiance des équipes, et même d’un droit légal prioritaire.
Dans cet article, vous allez découvrir :
Les 5 avantages uniques que vous possédez en tant que salarié repreneur.
Une méthode concrète en 7 étapes pour structurer votre projet.
Les aides financières spécifiques auxquelles vous pouvez prétendre.
Les pièges à éviter pour sécuriser votre parcours.
En bref : vous avez plus de chances que vous ne le pensez de réussir un rachat d’entreprise.
Pendant que des entrepreneurs externes cherchent désespérément à comprendre une entreprise de l’extérieur, vous en connaissez déjà tous les rouages.
Les chiffres sont éloquents : 85 % des transmissions internes réussissent, contre seulement 55 % des reprises externes. Pourtant, beaucoup de salariés pensent ne pas avoir les moyens financiers ou les compétences pour franchir le pas. C’est une croyance limitante. En réalité, votre position de salarié est probablement votre plus grand atout pour devenir dirigeant. Vous disposez d’un accès privilégié aux informations stratégiques, de la confiance des équipes, et même d’un droit légal prioritaire.
Dans cet article, vous allez découvrir :
Les 5 avantages uniques que vous possédez en tant que salarié repreneur.
Une méthode concrète en 7 étapes pour structurer votre projet.
Les aides financières spécifiques auxquelles vous pouvez prétendre.
Les pièges à éviter pour sécuriser votre parcours.
En bref : vous avez plus de chances que vous ne le pensez de réussir un rachat d’entreprise.
Les 5 avantages cachés du salarié repreneur
Les 5 avantages cachés du salarié repreneur
Les 5 avantages cachés du salarié repreneur
Les 5 avantages cachés du salarié repreneur
1. Vous connaissez les vraies forces (et faiblesses) de l'entreprise
Contrairement à un repreneur externe, vous n’achetez pas une vitrine. Vous connaissez la réalité quotidienne : les process, les fournisseurs, les clients… mais aussi les points de fragilité.
Pas de surprise, pas de période de "lune de miel". Vous savez, par exemple, que le contrat avec le client X représente 30 % du chiffre d’affaires et arrive à échéance dans 12 mois. Cette connaissance vous permet d’éviter une survalorisation et de bâtir un plan réaliste.
2. La confiance des équipes est déjà acquise
L’une des plus grandes difficultés pour un repreneur externe est de convaincre les équipes. Vous, ce travail est déjà fait.
Vous faites partie de l’histoire de l’entreprise. Résultat :
Pas de résistance au changement.
Les talents clés restent mobilisés.
La continuité opérationnelle est immédiate.
Une étude récente montre que 70 % des salariés préfèrent un rachat interne plutôt qu’une reprise par un acteur extérieur.
3. Les clients vous font déjà confiance
Un repreneur externe doit bâtir sa crédibilité auprès des clients. Vous, vous bénéficiez de relations commerciales déjà établies.
Pas de risque de perte massive de clients.
Connaissance fine de leurs habitudes et de leurs besoins.
Négociations commerciales post-rachat facilitées.
Cet atout constitue un argument de poids pour rassurer les financeurs.
4. Le cédant vous préfère (même si l’offre externe est plus élevée)
Un dirigeant ne vend pas seulement une société : il transmet son “bébé”.
Dans la majorité des cas, il privilégiera la continuité et la préservation de ses valeurs plutôt qu’une offre financièrement plus alléchante. Avec vous, il sait que l’entreprise restera entre de bonnes mains.
Concrètement, cela signifie :
Des négociations plus souples (crédit-vendeur, earn-out).
Un accompagnement ou tutorat facilité.
Un climat de confiance renforcé pendant la transmission.
5. La loi vous protège avec un droit de priorité
Depuis la loi Hamon, le cédant est tenu d’informer ses salariés au moins 2 mois avant la cession.
Cela vous donne l’opportunité de présenter une offre. Dans certains cas, vous pouvez même bénéficier de conditions préférentielles grâce à un droit de préemption.
En résumé : vous êtes à la fois l’option la plus rassurante pour le cédant, et la mieux protégée par la loi.
1. Vous connaissez les vraies forces (et faiblesses) de l'entreprise
Contrairement à un repreneur externe, vous n’achetez pas une vitrine. Vous connaissez la réalité quotidienne : les process, les fournisseurs, les clients… mais aussi les points de fragilité.
Pas de surprise, pas de période de "lune de miel". Vous savez, par exemple, que le contrat avec le client X représente 30 % du chiffre d’affaires et arrive à échéance dans 12 mois. Cette connaissance vous permet d’éviter une survalorisation et de bâtir un plan réaliste.
2. La confiance des équipes est déjà acquise
L’une des plus grandes difficultés pour un repreneur externe est de convaincre les équipes. Vous, ce travail est déjà fait.
Vous faites partie de l’histoire de l’entreprise. Résultat :
Pas de résistance au changement.
Les talents clés restent mobilisés.
La continuité opérationnelle est immédiate.
Une étude récente montre que 70 % des salariés préfèrent un rachat interne plutôt qu’une reprise par un acteur extérieur.
3. Les clients vous font déjà confiance
Un repreneur externe doit bâtir sa crédibilité auprès des clients. Vous, vous bénéficiez de relations commerciales déjà établies.
Pas de risque de perte massive de clients.
Connaissance fine de leurs habitudes et de leurs besoins.
Négociations commerciales post-rachat facilitées.
Cet atout constitue un argument de poids pour rassurer les financeurs.
4. Le cédant vous préfère (même si l’offre externe est plus élevée)
Un dirigeant ne vend pas seulement une société : il transmet son “bébé”.
Dans la majorité des cas, il privilégiera la continuité et la préservation de ses valeurs plutôt qu’une offre financièrement plus alléchante. Avec vous, il sait que l’entreprise restera entre de bonnes mains.
Concrètement, cela signifie :
Des négociations plus souples (crédit-vendeur, earn-out).
Un accompagnement ou tutorat facilité.
Un climat de confiance renforcé pendant la transmission.
5. La loi vous protège avec un droit de priorité
Depuis la loi Hamon, le cédant est tenu d’informer ses salariés au moins 2 mois avant la cession.
Cela vous donne l’opportunité de présenter une offre. Dans certains cas, vous pouvez même bénéficier de conditions préférentielles grâce à un droit de préemption.
En résumé : vous êtes à la fois l’option la plus rassurante pour le cédant, et la mieux protégée par la loi.
Reprise du fonds de commerce ou reprise des titres de société : quelle différence pour le salarié repreneur ?
Reprise du fonds de commerce ou reprise des titres de société : quelle différence pour le salarié repreneur ?
Reprise du fonds de commerce ou reprise des titres de société : quelle différence pour le salarié repreneur ?
Reprise du fonds de commerce ou reprise des titres de société : quelle différence pour le salarié repreneur ?
Lorsque vous envisagez de reprendre une entreprise, il existe deux approches juridiques distinctes, chacune ayant des conséquences importantes pour vous en tant que salarié repreneur.
1. La reprise du fonds de commerce
Vous achetez uniquement l’activité de l’entreprise : la clientèle, le nom commercial, le matériel, le droit au bail et les contrats liés directement à l’exploitation.
Avantages :
Vous repartez “à neuf”, sans hériter des dettes passées ou des litiges éventuels.
Vous pouvez choisir précisément ce que vous souhaitez reprendre et laisser derrière vous les éléments risqués.
Inconvénients :
L’opération peut être fiscalement plus lourde, car les droits d’enregistrement sont calculés sur la valeur du fonds.
Vous devez créer une nouvelle société pour exploiter le fonds, ce qui nécessite quelques formalités supplémentaires.
Exemple concret : si l’entreprise a accumulé des dettes fiscales ou sociales importantes, la reprise du fonds vous permet de les éviter, tout en conservant les clients et le savoir-faire que vous connaissez déjà.
Pour en savoir plus, consultez notre article :
2. La reprise des titres de société
Vous achetez les parts ou actions de la société existante, devenant ainsi le propriétaire légal de la structure complète.
Avantages :
Vous conservez directement tous les contrats existants : clients, fournisseurs, baux, prêts bancaires, et même les salariés déjà en poste.
La continuité est totale, ce qui rassure le cédant, les équipes et les financeurs.
Inconvénients :
Vous héritez également du passif de la société : dettes, litiges en cours, engagements fiscaux ou sociaux.
Une mauvaise évaluation peut transformer la reprise en risque financier important.
Exemple concret : si vous connaissez parfaitement l’entreprise et que ses comptes sont sains, la reprise des titres vous permet de prendre la relève sans interruption, avec les clients et équipes déjà en place. Mais si un contentieux fiscal existe, vous en serez directement responsable après la reprise.
Pour en savoir plus, consultez notre article :
Ce que cela implique pour le salarié repreneur
Pour la reprise de titres : votre connaissance interne est un avantage majeur, car vous pouvez évaluer précisément le passif et sécuriser la transaction. C’est souvent la solution la plus simple pour assurer la continuité.
Pour la reprise du fonds : vous devez être prêt à monter une nouvelle structure et à gérer certains aspects opérationnels vous-même, mais vous minimisez les risques liés au passif.
Astuce Captain : dans tous les cas, réalisez une due diligence complète avec un avocat ou un expert-comptable. Cela permet de mesurer les risques, optimiser le montage fiscal et choisir la meilleure option pour votre projet.

Lorsque vous envisagez de reprendre une entreprise, il existe deux approches juridiques distinctes, chacune ayant des conséquences importantes pour vous en tant que salarié repreneur.
1. La reprise du fonds de commerce
Vous achetez uniquement l’activité de l’entreprise : la clientèle, le nom commercial, le matériel, le droit au bail et les contrats liés directement à l’exploitation.
Avantages :
Vous repartez “à neuf”, sans hériter des dettes passées ou des litiges éventuels.
Vous pouvez choisir précisément ce que vous souhaitez reprendre et laisser derrière vous les éléments risqués.
Inconvénients :
L’opération peut être fiscalement plus lourde, car les droits d’enregistrement sont calculés sur la valeur du fonds.
Vous devez créer une nouvelle société pour exploiter le fonds, ce qui nécessite quelques formalités supplémentaires.
Exemple concret : si l’entreprise a accumulé des dettes fiscales ou sociales importantes, la reprise du fonds vous permet de les éviter, tout en conservant les clients et le savoir-faire que vous connaissez déjà.
Pour en savoir plus, consultez notre article :
2. La reprise des titres de société
Vous achetez les parts ou actions de la société existante, devenant ainsi le propriétaire légal de la structure complète.
Avantages :
Vous conservez directement tous les contrats existants : clients, fournisseurs, baux, prêts bancaires, et même les salariés déjà en poste.
La continuité est totale, ce qui rassure le cédant, les équipes et les financeurs.
Inconvénients :
Vous héritez également du passif de la société : dettes, litiges en cours, engagements fiscaux ou sociaux.
Une mauvaise évaluation peut transformer la reprise en risque financier important.
Exemple concret : si vous connaissez parfaitement l’entreprise et que ses comptes sont sains, la reprise des titres vous permet de prendre la relève sans interruption, avec les clients et équipes déjà en place. Mais si un contentieux fiscal existe, vous en serez directement responsable après la reprise.
Pour en savoir plus, consultez notre article :
Ce que cela implique pour le salarié repreneur
Pour la reprise de titres : votre connaissance interne est un avantage majeur, car vous pouvez évaluer précisément le passif et sécuriser la transaction. C’est souvent la solution la plus simple pour assurer la continuité.
Pour la reprise du fonds : vous devez être prêt à monter une nouvelle structure et à gérer certains aspects opérationnels vous-même, mais vous minimisez les risques liés au passif.
Astuce Captain : dans tous les cas, réalisez une due diligence complète avec un avocat ou un expert-comptable. Cela permet de mesurer les risques, optimiser le montage fiscal et choisir la meilleure option pour votre projet.

Notre méthode en 7 étapes pour réussir votre rachat
Notre méthode en 7 étapes pour réussir votre rachat
Notre méthode en 7 étapes pour réussir votre rachat
Notre méthode en 7 étapes pour réussir votre rachat
Passons maintenant du pourquoi au comment. Car avoir des avantages en tant que salarié ne suffit pas : il faut transformer cette opportunité en projet structuré et crédible. Voici la méthode que nous recommandons chez Captain, affinée au fil des transmissions que nous accompagnons.
1. Évaluez discrètement la faisabilité
Avant d’annoncer votre projet, il est essentiel de tester sa solidité :
Analysez la santé financière de l’entreprise grâce aux informations auxquelles vous avez déjà accès : marges, dettes, dépendance clients/fournisseurs.
Évaluez vos capacités financières personnelles : apport mobilisable, épargne, éventuels investisseurs proches.
Sondez l’appétence du dirigeant pour une transmission interne : certains y sont très favorables, d’autres n’y ont pas encore réfléchi.
Astuce Captain : dressez une grille d’évaluation avec des ratios simples (EBE, évolution du CA, endettement) pour objectiver votre analyse.
2. Préparez votre profil de repreneur
Une reprise ne se résume pas à des chiffres. Les financeurs et le cédant veulent être convaincus par la personne derrière le projet :
Faites un bilan de compétences : management, gestion, stratégie. Identifiez vos forces et vos lacunes.
Constituez un dossier personnel : CV détaillé, références, projets menés en interne.
Rédigez un business plan préliminaire, même simple, pour projeter l’avenir de l’entreprise.
Conseils : documentez vos réussites internes (ex. projets que vous avez pilotés, résultats obtenus). C’est un gage de crédibilité. Vous pouvez également explorer la piste d’une formation à la reprise d’entreprise.
3. Explorez les solutions de financement
C’est l’une des plus grandes inquiétudes des salariés repreneurs : trouver l’argent. La bonne nouvelle ? De nombreuses solutions existent :
Apport personnel : souvent 20 à 30 % du prix.
Prêt bancaire classique : avec des garanties adaptées.
Aides publiques : BPI, dispositifs régionaux, France Travail (ex-Pôle Emploi) si vous êtes en transition.
Crédit-vendeur : très fréquent lors des rachats internes (30 à 50 % du prix peut être payé de manière différée).
Participation d’autres salariés : via une SCOP ou une SAS.
Retenez ceci : le financement d’un rachat ne repose jamais uniquement sur vos fonds propres.
Pour en savoir plus, découvrez notre article :
4. Manifestez officiellement votre intérêt
Le moment venu, il faut formaliser votre intention.
Choisissez le timing : ni trop tôt (risque de bloquer), ni trop tard (risque de passer après un concurrent externe).
Préparez un entretien avec le dirigeant pour exposer votre vision : continuité + projet de développement.
Soignez votre discours : montrez que vous êtes le garant de la pérennité, pas seulement un acheteur.
Gardez la confidentialité vis-à-vis des collègues tant que le processus n’est pas sécurisé.
5. Négociez les conditions de rachat
C’est l’étape la plus sensible. Mais votre avantage est clair : vous connaissez mieux que quiconque la réalité économique de l’entreprise.
Valorisation : vous pouvez l’argumenter avec des faits concrets (contrats, marges, dépendances).
Modalités de paiement : paiement comptant, crédit-vendeur, earn-out (paiement variable lié aux résultats).
Clauses clés : non-concurrence du cédant, accompagnement post-cession.
Tutorat : beaucoup de cédants acceptent de rester quelques mois pour vous transmettre leur savoir-faire.
6. Sécurisez juridiquement l’opération
Même en connaissant l’entreprise de l’intérieur, il est vital de cadrer juridiquement la transaction.
Réalisez une due diligence approfondie (contrats, litiges, fiscalité).
Rédigez une lettre d’intention claire pour formaliser l’accord de principe.
Prévoyez une garantie d’actif et de passif pour vous protéger contre les mauvaises surprises.
Faites-vous accompagner par un notaire, un avocat ou une agence spécialisée dans la transmission d’entreprise.
Chez Captain, nous insistons toujours sur ce point : un rachat interne ne doit jamais se faire “sur la confiance seule”.
7. Orchestrez la transition
Une fois la transaction finalisée, le vrai travail commence : celui de la passation.
Communiquez clairement et au bon moment auprès des équipes.
Présentez un plan de transition avec répartition des responsabilités.
Identifiez et fidélisez les talents clés.
Prenez rapidement vos premières décisions stratégiques pour montrer votre leadership.
Astuce : organisez une réunion d’équipe dès la reprise pour poser votre vision et donner confiance.
Avec ces 7 étapes, vous transformez un projet parfois perçu comme inaccessible en une trajectoire claire et réaliste.
Passons maintenant du pourquoi au comment. Car avoir des avantages en tant que salarié ne suffit pas : il faut transformer cette opportunité en projet structuré et crédible. Voici la méthode que nous recommandons chez Captain, affinée au fil des transmissions que nous accompagnons.
1. Évaluez discrètement la faisabilité
Avant d’annoncer votre projet, il est essentiel de tester sa solidité :
Analysez la santé financière de l’entreprise grâce aux informations auxquelles vous avez déjà accès : marges, dettes, dépendance clients/fournisseurs.
Évaluez vos capacités financières personnelles : apport mobilisable, épargne, éventuels investisseurs proches.
Sondez l’appétence du dirigeant pour une transmission interne : certains y sont très favorables, d’autres n’y ont pas encore réfléchi.
Astuce Captain : dressez une grille d’évaluation avec des ratios simples (EBE, évolution du CA, endettement) pour objectiver votre analyse.
2. Préparez votre profil de repreneur
Une reprise ne se résume pas à des chiffres. Les financeurs et le cédant veulent être convaincus par la personne derrière le projet :
Faites un bilan de compétences : management, gestion, stratégie. Identifiez vos forces et vos lacunes.
Constituez un dossier personnel : CV détaillé, références, projets menés en interne.
Rédigez un business plan préliminaire, même simple, pour projeter l’avenir de l’entreprise.
Conseils : documentez vos réussites internes (ex. projets que vous avez pilotés, résultats obtenus). C’est un gage de crédibilité. Vous pouvez également explorer la piste d’une formation à la reprise d’entreprise.
3. Explorez les solutions de financement
C’est l’une des plus grandes inquiétudes des salariés repreneurs : trouver l’argent. La bonne nouvelle ? De nombreuses solutions existent :
Apport personnel : souvent 20 à 30 % du prix.
Prêt bancaire classique : avec des garanties adaptées.
Aides publiques : BPI, dispositifs régionaux, France Travail (ex-Pôle Emploi) si vous êtes en transition.
Crédit-vendeur : très fréquent lors des rachats internes (30 à 50 % du prix peut être payé de manière différée).
Participation d’autres salariés : via une SCOP ou une SAS.
Retenez ceci : le financement d’un rachat ne repose jamais uniquement sur vos fonds propres.
Pour en savoir plus, découvrez notre article :
4. Manifestez officiellement votre intérêt
Le moment venu, il faut formaliser votre intention.
Choisissez le timing : ni trop tôt (risque de bloquer), ni trop tard (risque de passer après un concurrent externe).
Préparez un entretien avec le dirigeant pour exposer votre vision : continuité + projet de développement.
Soignez votre discours : montrez que vous êtes le garant de la pérennité, pas seulement un acheteur.
Gardez la confidentialité vis-à-vis des collègues tant que le processus n’est pas sécurisé.
5. Négociez les conditions de rachat
C’est l’étape la plus sensible. Mais votre avantage est clair : vous connaissez mieux que quiconque la réalité économique de l’entreprise.
Valorisation : vous pouvez l’argumenter avec des faits concrets (contrats, marges, dépendances).
Modalités de paiement : paiement comptant, crédit-vendeur, earn-out (paiement variable lié aux résultats).
Clauses clés : non-concurrence du cédant, accompagnement post-cession.
Tutorat : beaucoup de cédants acceptent de rester quelques mois pour vous transmettre leur savoir-faire.
6. Sécurisez juridiquement l’opération
Même en connaissant l’entreprise de l’intérieur, il est vital de cadrer juridiquement la transaction.
Réalisez une due diligence approfondie (contrats, litiges, fiscalité).
Rédigez une lettre d’intention claire pour formaliser l’accord de principe.
Prévoyez une garantie d’actif et de passif pour vous protéger contre les mauvaises surprises.
Faites-vous accompagner par un notaire, un avocat ou une agence spécialisée dans la transmission d’entreprise.
Chez Captain, nous insistons toujours sur ce point : un rachat interne ne doit jamais se faire “sur la confiance seule”.
7. Orchestrez la transition
Une fois la transaction finalisée, le vrai travail commence : celui de la passation.
Communiquez clairement et au bon moment auprès des équipes.
Présentez un plan de transition avec répartition des responsabilités.
Identifiez et fidélisez les talents clés.
Prenez rapidement vos premières décisions stratégiques pour montrer votre leadership.
Astuce : organisez une réunion d’équipe dès la reprise pour poser votre vision et donner confiance.
Avec ces 7 étapes, vous transformez un projet parfois perçu comme inaccessible en une trajectoire claire et réaliste.
Les aides financières spécifiques aux salariés repreneurs
Les aides financières spécifiques aux salariés repreneurs
Les aides financières spécifiques aux salariés repreneurs
Les aides financières spécifiques aux salariés repreneurs
Beaucoup de salariés pensent que le financement est un obstacle insurmontable. En réalité, il existe de nombreux dispositifs spécialement pensés pour vous aider à racheter l’entreprise dans laquelle vous travaillez.
Voici les trois leviers les plus puissants.
Les dispositifs publics méconnus
Prêt à la Création d’Entreprise (PCE) de Bpifrance : destiné à renforcer vos fonds propres au moment de la reprise. Même s’il est souvent associé à la création, il peut être mobilisé pour un rachat.
Aides régionales à la reprise : chaque région dispose de dispositifs spécifiques (subventions, prêts à taux zéro, garanties). Renseignez-vous auprès de votre Conseil Régional.
ACRE (anciennement ACCRE) : exonération partielle de charges sociales la première année si vous étiez demandeur d’emploi.
Prêt d’honneur : octroyé par des plateformes locales (Initiative France, Réseau Entreprendre), il renforce votre apport personnel et rassure les banques.
Les solutions de financement participatif
Le financement ne repose pas uniquement sur les banques.
Participation des autres salariés : vous pouvez transformer le projet en aventure collective, via une SCOP ou une SAS détenue par plusieurs collaborateurs.
Crowdfunding spécialisé : des plateformes comme WiSEED ou WeDoGood financent de plus en plus de projets de transmission.
Business angels locaux : particulièrement intéressés par les entreprises ancrées dans leur territoire.
Fonds d’investissement “patients” : certains fonds publics ou semi-publics accompagnent les transmissions avec des horizons d’investissement longs.
Le crédit-vendeur, votre meilleur allié
Le crédit-vendeur est l’arme secrète des salariés repreneurs.
Le cédant accepte de vous laisser payer une partie du prix (souvent 30 à 50 %) de manière échelonnée.
C’est un signal fort : si le vendeur croit en la solidité de l’entreprise, il accepte ce montage.
Pour vous, cela réduit le besoin de financement bancaire.
Pour lui, cela peut offrir des avantages fiscaux et la satisfaction de faciliter la transmission.
Beaucoup de salariés pensent que le financement est un obstacle insurmontable. En réalité, il existe de nombreux dispositifs spécialement pensés pour vous aider à racheter l’entreprise dans laquelle vous travaillez.
Voici les trois leviers les plus puissants.
Les dispositifs publics méconnus
Prêt à la Création d’Entreprise (PCE) de Bpifrance : destiné à renforcer vos fonds propres au moment de la reprise. Même s’il est souvent associé à la création, il peut être mobilisé pour un rachat.
Aides régionales à la reprise : chaque région dispose de dispositifs spécifiques (subventions, prêts à taux zéro, garanties). Renseignez-vous auprès de votre Conseil Régional.
ACRE (anciennement ACCRE) : exonération partielle de charges sociales la première année si vous étiez demandeur d’emploi.
Prêt d’honneur : octroyé par des plateformes locales (Initiative France, Réseau Entreprendre), il renforce votre apport personnel et rassure les banques.
Les solutions de financement participatif
Le financement ne repose pas uniquement sur les banques.
Participation des autres salariés : vous pouvez transformer le projet en aventure collective, via une SCOP ou une SAS détenue par plusieurs collaborateurs.
Crowdfunding spécialisé : des plateformes comme WiSEED ou WeDoGood financent de plus en plus de projets de transmission.
Business angels locaux : particulièrement intéressés par les entreprises ancrées dans leur territoire.
Fonds d’investissement “patients” : certains fonds publics ou semi-publics accompagnent les transmissions avec des horizons d’investissement longs.
Le crédit-vendeur, votre meilleur allié
Le crédit-vendeur est l’arme secrète des salariés repreneurs.
Le cédant accepte de vous laisser payer une partie du prix (souvent 30 à 50 %) de manière échelonnée.
C’est un signal fort : si le vendeur croit en la solidité de l’entreprise, il accepte ce montage.
Pour vous, cela réduit le besoin de financement bancaire.
Pour lui, cela peut offrir des avantages fiscaux et la satisfaction de faciliter la transmission.
Les pièges à éviter dans votre rachat interne
Les pièges à éviter dans votre rachat interne
Les pièges à éviter dans votre rachat interne
Les pièges à éviter dans votre rachat interne
Même avec tous vos avantages, une reprise interne comporte des écueils. Voici ceux que nous voyons le plus souvent.
Ne pas négliger la due diligence
Vous connaissez bien l’entreprise, mais cela ne remplace pas un audit rigoureux.
Vérifiez les contrats clients et fournisseurs : clauses de résiliation, échéances.
Analysez la situation fiscale : litiges en cours, contrôles potentiels.
Inspectez les contentieux sociaux ou commerciaux.
Erreur fréquente : “Je travaille ici depuis 10 ans, je sais tout.” En réalité, certains problèmes ne sont visibles que dans les bilans et les annexes juridiques.
Sous-estimer le changement de statut
Passer de salarié à dirigeant est une vraie rupture.
Vous devenez responsable de la stratégie et de la rentabilité globale.
Vos anciens collègues deviennent vos collaborateurs directs : la posture managériale doit évoluer.
Votre protection sociale change : statut de dirigeant, cotisations différentes, nouvelles assurances à prévoir.
Négliger la communication
La communication est souvent le point faible des transmissions internes.
Soyez transparent au bon moment : trop tôt, vous créez de l’instabilité ; trop tard, vous alimentez des rumeurs.
Anticipez les jalousies potentielles : certains collègues auraient aimé être à votre place.
N’oubliez pas la communication externe : clients et fournisseurs doivent être rassurés dès les premières semaines.

Même avec tous vos avantages, une reprise interne comporte des écueils. Voici ceux que nous voyons le plus souvent.
Ne pas négliger la due diligence
Vous connaissez bien l’entreprise, mais cela ne remplace pas un audit rigoureux.
Vérifiez les contrats clients et fournisseurs : clauses de résiliation, échéances.
Analysez la situation fiscale : litiges en cours, contrôles potentiels.
Inspectez les contentieux sociaux ou commerciaux.
Erreur fréquente : “Je travaille ici depuis 10 ans, je sais tout.” En réalité, certains problèmes ne sont visibles que dans les bilans et les annexes juridiques.
Sous-estimer le changement de statut
Passer de salarié à dirigeant est une vraie rupture.
Vous devenez responsable de la stratégie et de la rentabilité globale.
Vos anciens collègues deviennent vos collaborateurs directs : la posture managériale doit évoluer.
Votre protection sociale change : statut de dirigeant, cotisations différentes, nouvelles assurances à prévoir.
Négliger la communication
La communication est souvent le point faible des transmissions internes.
Soyez transparent au bon moment : trop tôt, vous créez de l’instabilité ; trop tard, vous alimentez des rumeurs.
Anticipez les jalousies potentielles : certains collègues auraient aimé être à votre place.
N’oubliez pas la communication externe : clients et fournisseurs doivent être rassurés dès les premières semaines.

Quand se faire accompagner par un expert ?
Quand se faire accompagner par un expert ?
Quand se faire accompagner par un expert ?
Quand se faire accompagner par un expert ?
Vous pourriez être tenté de tout gérer seul, en pensant que votre connaissance interne suffit. Mais un rachat d’entreprise est un processus complexe, qui combine aspects financiers, juridiques et humains.
Un expert en transmission d’entreprise vous apporte :
Une objectivité précieuse : dans les négociations, vous êtes émotionnellement impliqué. Un tiers vous aide à garder la tête froide.
Une sécurisation juridique et financière : rédaction des contrats, audit, structuration du financement.
Un accès à un réseau de financeurs : banques, investisseurs, dispositifs publics.
Une optimisation fiscale : choix de la structure juridique, traitement du crédit-vendeur, dispositifs d’exonération.
Une méthodologie éprouvée : plan de reprise, gestion du calendrier, orchestration de la transition.
Chez Captain, nous avons développé un accompagnement spécialement pensé pour les repreneurs. Notre rôle : transformer votre avantage naturel de salarié en projet structuré et sécurisé, de la première évaluation jusqu’à la signature finale.
Vous pourriez être tenté de tout gérer seul, en pensant que votre connaissance interne suffit. Mais un rachat d’entreprise est un processus complexe, qui combine aspects financiers, juridiques et humains.
Un expert en transmission d’entreprise vous apporte :
Une objectivité précieuse : dans les négociations, vous êtes émotionnellement impliqué. Un tiers vous aide à garder la tête froide.
Une sécurisation juridique et financière : rédaction des contrats, audit, structuration du financement.
Un accès à un réseau de financeurs : banques, investisseurs, dispositifs publics.
Une optimisation fiscale : choix de la structure juridique, traitement du crédit-vendeur, dispositifs d’exonération.
Une méthodologie éprouvée : plan de reprise, gestion du calendrier, orchestration de la transition.
Chez Captain, nous avons développé un accompagnement spécialement pensé pour les repreneurs. Notre rôle : transformer votre avantage naturel de salarié en projet structuré et sécurisé, de la première évaluation jusqu’à la signature finale.
Conclusion
Conclusion
Conclusion
Conclusion
Être salarié n’est pas un frein dans un projet de reprise d’entreprise. C’est au contraire votre meilleur atout.
Vous connaissez la réalité de l’entreprise.
Vous avez la confiance des équipes et des clients.
Vous bénéficiez de la préférence du cédant et d’un droit légal prioritaire.
La reprise d’entreprise est une formidable opportunité de donner un nouvel élan à votre carrière, tout en assurant la continuité d’une histoire que vous connaissez déjà. Et le moment est crucial : 700 000 entreprises devront être transmises d’ici 2030. Alors, si vous envisagez de racheter l’entreprise dans laquelle vous travaillez, ne laissez pas passer votre chance.
Chez Captain, nous accompagnons les salariés repreneurs à chaque étape : de l’idée à la finalisation. Contactez-nous pour un premier échange gratuit.
Être salarié n’est pas un frein dans un projet de reprise d’entreprise. C’est au contraire votre meilleur atout.
Vous connaissez la réalité de l’entreprise.
Vous avez la confiance des équipes et des clients.
Vous bénéficiez de la préférence du cédant et d’un droit légal prioritaire.
La reprise d’entreprise est une formidable opportunité de donner un nouvel élan à votre carrière, tout en assurant la continuité d’une histoire que vous connaissez déjà. Et le moment est crucial : 700 000 entreprises devront être transmises d’ici 2030. Alors, si vous envisagez de racheter l’entreprise dans laquelle vous travaillez, ne laissez pas passer votre chance.
Chez Captain, nous accompagnons les salariés repreneurs à chaque étape : de l’idée à la finalisation. Contactez-nous pour un premier échange gratuit.
FAQ – Rachat d’entreprise par un salarié
FAQ – Rachat d’entreprise par un salarié
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Quels sont les avantages d’un rachat d’entreprise par un salarié ?
Le principal avantage est la connaissance approfondie de l’entreprise : son fonctionnement, ses forces et ses faiblesses. Le salarié bénéficie aussi de la confiance des équipes et des clients, de la préférence du cédant et d’un droit prioritaire légal (loi Hamon). Ces atouts augmentent considérablement les chances de réussite du rachat.
Qu’est-ce que la loi Hamon pour les salariés repreneurs ?
La loi Hamon impose au dirigeant d’informer ses salariés au moins deux mois avant la vente de l’entreprise. Ce délai permet aux salariés de se positionner et de présenter une offre de reprise. Dans certains cas, ils bénéficient également d’un droit de préemption, leur donnant une priorité sur d’éventuels repreneurs externes.
Comment financer un rachat d’entreprise en tant que salarié ?
Un salarié peut financer un rachat grâce à un apport personnel (20 à 30 % en moyenne), complété par un prêt bancaire, des aides publiques (Bpifrance, aides régionales, ACRE), un prêt d’honneur, et surtout un crédit-vendeur accordé par le cédant. La participation d’autres salariés (SCOP, SAS) ou le recours au crowdfunding sont également possibles.
Quelles aides financières existent pour un rachat d’entreprise par un salarié ?
Parmi les aides principales :
Le Prêt Transmission de Bpifrance.
Les aides régionales à la reprise.
L’ACRE pour exonérer partiellement de charges sociales.
Les prêts d’honneur (Initiative France, Réseau Entreprendre).
Ces dispositifs renforcent l’apport du salarié et facilitent l’obtention d’un financement bancaire.
Quelles erreurs éviter lors d’un rachat d’entreprise par un salarié ?
Les erreurs les plus fréquentes sont :
Négliger la due diligence sous prétexte de bien connaître l’entreprise.
Sous-estimer le changement de statut (de salarié à dirigeant).
Mal gérer la communication interne et externe lors de la transmission.
Un accompagnement professionnel permet d’éviter ces pièges.
Quels sont les avantages d’un rachat d’entreprise par un salarié ?
Le principal avantage est la connaissance approfondie de l’entreprise : son fonctionnement, ses forces et ses faiblesses. Le salarié bénéficie aussi de la confiance des équipes et des clients, de la préférence du cédant et d’un droit prioritaire légal (loi Hamon). Ces atouts augmentent considérablement les chances de réussite du rachat.
Qu’est-ce que la loi Hamon pour les salariés repreneurs ?
La loi Hamon impose au dirigeant d’informer ses salariés au moins deux mois avant la vente de l’entreprise. Ce délai permet aux salariés de se positionner et de présenter une offre de reprise. Dans certains cas, ils bénéficient également d’un droit de préemption, leur donnant une priorité sur d’éventuels repreneurs externes.
Comment financer un rachat d’entreprise en tant que salarié ?
Un salarié peut financer un rachat grâce à un apport personnel (20 à 30 % en moyenne), complété par un prêt bancaire, des aides publiques (Bpifrance, aides régionales, ACRE), un prêt d’honneur, et surtout un crédit-vendeur accordé par le cédant. La participation d’autres salariés (SCOP, SAS) ou le recours au crowdfunding sont également possibles.
Quelles aides financières existent pour un rachat d’entreprise par un salarié ?
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Le Prêt Transmission de Bpifrance.
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Les erreurs les plus fréquentes sont :
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