Comment racheter une entreprise en liquidation judiciaire : le guide complet
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Vous envisagez de racheter une entreprise en liquidation ? On vous explique comment transformer ce challenge en opportunité.
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Business
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7
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min de lecture
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4 juin 2025
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Juliette T.
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Co-fondatrice & rédactrice
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Sommaire
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Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire représente une opportunité stratégique pour les entrepreneurs avisés.
Cette situation, encadrée par le Code de commerce, offre des perspectives intéressantes pour les repreneurs :
Prix d'acquisition attractif : les actifs sont souvent cédés à des valeurs inférieures au marché
Reprise sélective : possibilité de choisir les éléments les plus pertinents de l'entreprise
Nouveau départ : effacement des dettes antérieures
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire permet de sauvegarder des emplois, de maintenir une activité économique locale mais aussi d'acquérir des parts de marché rapidement et de bénéficier d'un outil de production opérationnel.
Cette démarche nécessite une analyse approfondie et une méthodologie rigoureuse. Les repreneurs doivent évaluer précisément le potentiel de l'entreprise, ses actifs stratégiques et sa capacité à retrouver une rentabilité sous une nouvelle direction.
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire représente une opportunité stratégique pour les entrepreneurs avisés.
Cette situation, encadrée par le Code de commerce, offre des perspectives intéressantes pour les repreneurs :
Prix d'acquisition attractif : les actifs sont souvent cédés à des valeurs inférieures au marché
Reprise sélective : possibilité de choisir les éléments les plus pertinents de l'entreprise
Nouveau départ : effacement des dettes antérieures
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire permet de sauvegarder des emplois, de maintenir une activité économique locale mais aussi d'acquérir des parts de marché rapidement et de bénéficier d'un outil de production opérationnel.
Cette démarche nécessite une analyse approfondie et une méthodologie rigoureuse. Les repreneurs doivent évaluer précisément le potentiel de l'entreprise, ses actifs stratégiques et sa capacité à retrouver une rentabilité sous une nouvelle direction.
1. Comprendre la liquidation judiciaire
1. Comprendre la liquidation judiciaire
1. Comprendre la liquidation judiciaire
1. Comprendre la liquidation judiciaire
La procédure de liquidation judiciaire intervient lorsqu'une entreprise se trouve dans l'impossibilité de faire face à ses dettes et que son redressement est manifestement impossible. Cette procédure, encadrée par le Code de commerce, vise à mettre fin à l'activité de l'entreprise.
Le processus se déroule en plusieurs étapes clés :
Jugement d'ouverture par le tribunal de commerce
Nomination d'un liquidateur judiciaire
Inventaire des actifs de l'entreprise
Publication d'un appel d'offres pour la reprise
Conditions de placement en liquidation judiciaire :
Cessation des paiements avérée
Impossibilité de redressement
Situation financière irrémédiablement compromise
La cession des actifs peut prendre deux formes distinctes :
Cession globale : l'entreprise est vendue dans son ensemble, incluant les actifs matériels, la clientèle et les contrats en cours
Cession partielle : vente séparée des différents éléments de l'entreprise (matériel, stock, bail commercial)
Le choix entre ces deux options dépend principalement de la viabilité de l'activité et de l'intérêt des repreneurs potentiels.
La procédure de liquidation judiciaire intervient lorsqu'une entreprise se trouve dans l'impossibilité de faire face à ses dettes et que son redressement est manifestement impossible. Cette procédure, encadrée par le Code de commerce, vise à mettre fin à l'activité de l'entreprise.
Le processus se déroule en plusieurs étapes clés :
Jugement d'ouverture par le tribunal de commerce
Nomination d'un liquidateur judiciaire
Inventaire des actifs de l'entreprise
Publication d'un appel d'offres pour la reprise
Conditions de placement en liquidation judiciaire :
Cessation des paiements avérée
Impossibilité de redressement
Situation financière irrémédiablement compromise
La cession des actifs peut prendre deux formes distinctes :
Cession globale : l'entreprise est vendue dans son ensemble, incluant les actifs matériels, la clientèle et les contrats en cours
Cession partielle : vente séparée des différents éléments de l'entreprise (matériel, stock, bail commercial)
Le choix entre ces deux options dépend principalement de la viabilité de l'activité et de l'intérêt des repreneurs potentiels.
2. Les modalités de rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire
2. Les modalités de rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire
2. Les modalités de rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire
2. Les modalités de rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire
A. La cession globale
La cession globale consiste en l'acquisition de l’ensemble des actifs, passifs et activités de l’entreprise en liquidation judiciaire. Ce type de reprise permet au repreneur de continuer l’exploitation dans sa continuité, souvent en conservant la même structure juridique.
Caractéristiques principales :
Acquisition complète : le repreneur achète tous les éléments corporels (matériel, stocks, locaux) et incorporels (clientèle, marques, brevets).
Reprise des contrats de travail : conformément à la législation sociale, les contrats des salariés sont généralement transférés au nouveau propriétaire, ce qui facilite la continuité de l’activité.
Maintien de la structure existante : cela inclut souvent le maintien des relations commerciales, des fournisseurs et des clients, assurant ainsi une transition plus fluide.
Prix négocié globalement : la valorisation correspond à un prix unique pour l’ensemble des éléments repris. Ce prix est déterminé après une analyse approfondie du passif et de l’actif.
Risques liés au passif : contrairement à la cession partielle, le repreneur peut être exposé à certains passifs antérieurs, ce qui nécessite une étude juridique rigoureuse.
La cession globale est souvent privilégiée lorsque l’objectif est de sauvegarder l’entreprise dans son intégralité et d’éviter une fragmentation qui pourrait nuire à sa valeur.
B. La cession partielle des actifs
La cession partielle des actifs consiste à acquérir uniquement une sélection précise d’éléments appartenant à l’entreprise. Cette méthode offre plusieurs avantages importants :
Sélection spécifique des éléments à acquérir : vous pouvez choisir précisément quels actifs reprendre, comme certains équipements, brevets, stocks ou contrats spécifiques. Cela vous permet d’adapter la reprise à vos besoins stratégiques sans être lié à l’intégralité de l’entreprise.
Flexibilité dans le choix des actifs : cette approche vous donne la liberté d’exclure certains biens ou services qui ne correspondent pas à votre projet. Par exemple, vous pouvez éviter les activités non rentables ou les actifs obsolètes.
Possibilité d’exclure certains passifs : contrairement à une cession globale, vous n’êtes pas obligé de reprendre tous les passifs. Cela réduit significativement les risques liés aux dettes ou obligations antérieures, sous réserve d’une analyse juridique approfondie.
Valorisation individuelle des composants : chaque actif est évalué séparément, ce qui facilite une négociation plus fine du prix. Cette valorisation précise vous permet de mieux maîtriser l’investissement et d’éviter une surévaluation liée à un paquet global.
La cession partielle nécessite souvent une expertise juridique et comptable renforcée pour bien définir les éléments transférés et sécuriser la transaction.
C. Rôle du liquidateur judiciaire
Le liquidateur judiciaire occupe une position clé dans la procédure de liquidation et de cession d’entreprise. Ses missions englobent plusieurs responsabilités essentielles, garantissant la transparence et la régularité du processus :
Évaluation des offres de reprise : le liquidateur analyse attentivement chaque proposition reçue, en vérifiant leur conformité avec les critères fixés par le tribunal et la capacité réelle des candidats à reprendre l’activité. Cette évaluation inclut l’étude financière, juridique et stratégique des offres.
Organisation des visites pour les repreneurs potentiels : il coordonne les visites des locaux, ateliers ou autres biens concernés, afin de permettre aux repreneurs d’évaluer précisément les actifs et l’état général de l’entreprise. Ces visites sont planifiées dans un cadre sécurisé pour préserver les intérêts de toutes les parties.
Négociation des conditions de cession : en collaboration avec les candidats repreneurs, le liquidateur ajuste les modalités commerciales, financières et opérationnelles de la cession : prix, délais, transfert du personnel, garanties éventuelles. Son rôle est d’obtenir un accord équilibré qui maximise la valeur pour les créanciers tout en assurant une reprise viable.
Présentation des propositions au tribunal : après sélection des offres jugées recevables, il soumet ses recommandations au juge-commissaire ou au tribunal compétent. Celui-ci valide ou rejette l’offre retenue en fonction de son intérêt économique et social.
D. L'acte de cession
L’acte de cession constitue la phase finale et formelle de la transaction. Il doit respecter plusieurs exigences précises :
Signature devant notaire : la formalisation juridique s’effectue généralement chez un notaire, garantissant ainsi la validité légale et opposabilité du contrat. Cette étape officialise le transfert des droits entre le cédant (liquidateur) et le repreneur.
Inventaire détaillé des actifs cédés : l’acte inclut une description exhaustive des biens transférés : matériels, stocks, brevets, contrats clients… Cet inventaire permet d’éviter tout litige ultérieur sur ce qui a été effectivement repris.
Mention du prix et des modalités de paiement : le document précise clairement le montant convenu ainsi que les conditions pratiques (paiement comptant, échéancier, garanties) afin d’assurer une exécution conforme à l’accord.
Enfin, l’enregistrement auprès des autorités compétentes est obligatoire pour rendre la cession opposable aux tiers. Cela implique notamment :
L’inscription modificative au registre du commerce et des sociétés (RCS)
La déclaration auprès des services fiscaux pour la taxation éventuelle
La notification aux organismes sociaux si le personnel est repris
Ces formalités clôturent juridiquement la reprise et permettent au repreneur d’exploiter légalement l’entreprise dans son nouveau cadre.

A. La cession globale
La cession globale consiste en l'acquisition de l’ensemble des actifs, passifs et activités de l’entreprise en liquidation judiciaire. Ce type de reprise permet au repreneur de continuer l’exploitation dans sa continuité, souvent en conservant la même structure juridique.
Caractéristiques principales :
Acquisition complète : le repreneur achète tous les éléments corporels (matériel, stocks, locaux) et incorporels (clientèle, marques, brevets).
Reprise des contrats de travail : conformément à la législation sociale, les contrats des salariés sont généralement transférés au nouveau propriétaire, ce qui facilite la continuité de l’activité.
Maintien de la structure existante : cela inclut souvent le maintien des relations commerciales, des fournisseurs et des clients, assurant ainsi une transition plus fluide.
Prix négocié globalement : la valorisation correspond à un prix unique pour l’ensemble des éléments repris. Ce prix est déterminé après une analyse approfondie du passif et de l’actif.
Risques liés au passif : contrairement à la cession partielle, le repreneur peut être exposé à certains passifs antérieurs, ce qui nécessite une étude juridique rigoureuse.
La cession globale est souvent privilégiée lorsque l’objectif est de sauvegarder l’entreprise dans son intégralité et d’éviter une fragmentation qui pourrait nuire à sa valeur.
B. La cession partielle des actifs
La cession partielle des actifs consiste à acquérir uniquement une sélection précise d’éléments appartenant à l’entreprise. Cette méthode offre plusieurs avantages importants :
Sélection spécifique des éléments à acquérir : vous pouvez choisir précisément quels actifs reprendre, comme certains équipements, brevets, stocks ou contrats spécifiques. Cela vous permet d’adapter la reprise à vos besoins stratégiques sans être lié à l’intégralité de l’entreprise.
Flexibilité dans le choix des actifs : cette approche vous donne la liberté d’exclure certains biens ou services qui ne correspondent pas à votre projet. Par exemple, vous pouvez éviter les activités non rentables ou les actifs obsolètes.
Possibilité d’exclure certains passifs : contrairement à une cession globale, vous n’êtes pas obligé de reprendre tous les passifs. Cela réduit significativement les risques liés aux dettes ou obligations antérieures, sous réserve d’une analyse juridique approfondie.
Valorisation individuelle des composants : chaque actif est évalué séparément, ce qui facilite une négociation plus fine du prix. Cette valorisation précise vous permet de mieux maîtriser l’investissement et d’éviter une surévaluation liée à un paquet global.
La cession partielle nécessite souvent une expertise juridique et comptable renforcée pour bien définir les éléments transférés et sécuriser la transaction.
C. Rôle du liquidateur judiciaire
Le liquidateur judiciaire occupe une position clé dans la procédure de liquidation et de cession d’entreprise. Ses missions englobent plusieurs responsabilités essentielles, garantissant la transparence et la régularité du processus :
Évaluation des offres de reprise : le liquidateur analyse attentivement chaque proposition reçue, en vérifiant leur conformité avec les critères fixés par le tribunal et la capacité réelle des candidats à reprendre l’activité. Cette évaluation inclut l’étude financière, juridique et stratégique des offres.
Organisation des visites pour les repreneurs potentiels : il coordonne les visites des locaux, ateliers ou autres biens concernés, afin de permettre aux repreneurs d’évaluer précisément les actifs et l’état général de l’entreprise. Ces visites sont planifiées dans un cadre sécurisé pour préserver les intérêts de toutes les parties.
Négociation des conditions de cession : en collaboration avec les candidats repreneurs, le liquidateur ajuste les modalités commerciales, financières et opérationnelles de la cession : prix, délais, transfert du personnel, garanties éventuelles. Son rôle est d’obtenir un accord équilibré qui maximise la valeur pour les créanciers tout en assurant une reprise viable.
Présentation des propositions au tribunal : après sélection des offres jugées recevables, il soumet ses recommandations au juge-commissaire ou au tribunal compétent. Celui-ci valide ou rejette l’offre retenue en fonction de son intérêt économique et social.
D. L'acte de cession
L’acte de cession constitue la phase finale et formelle de la transaction. Il doit respecter plusieurs exigences précises :
Signature devant notaire : la formalisation juridique s’effectue généralement chez un notaire, garantissant ainsi la validité légale et opposabilité du contrat. Cette étape officialise le transfert des droits entre le cédant (liquidateur) et le repreneur.
Inventaire détaillé des actifs cédés : l’acte inclut une description exhaustive des biens transférés : matériels, stocks, brevets, contrats clients… Cet inventaire permet d’éviter tout litige ultérieur sur ce qui a été effectivement repris.
Mention du prix et des modalités de paiement : le document précise clairement le montant convenu ainsi que les conditions pratiques (paiement comptant, échéancier, garanties) afin d’assurer une exécution conforme à l’accord.
Enfin, l’enregistrement auprès des autorités compétentes est obligatoire pour rendre la cession opposable aux tiers. Cela implique notamment :
L’inscription modificative au registre du commerce et des sociétés (RCS)
La déclaration auprès des services fiscaux pour la taxation éventuelle
La notification aux organismes sociaux si le personnel est repris
Ces formalités clôturent juridiquement la reprise et permettent au repreneur d’exploiter légalement l’entreprise dans son nouveau cadre.

3. Préparer son offre de rachat
3. Préparer son offre de rachat
3. Préparer son offre de rachat
3. Préparer son offre de rachat
La préparation d'une offre de rachat d'entreprise en liquidation judiciaire exige un dossier structuré et sans faille.
Les éléments essentiels incluent :
Une lettre d'intention d'achat détaillant votre projet de reprise
Un business plan complet avec compte d'exploitation prévisionnel sur 3 ans
Les preuves de financement (attestations bancaires, accord de prêt)
Un plan de continuation de l'activité
Une proposition de reprise du personnel
Votre lettre d'intention doit notamment présenter votre identité et votre expérience professionnelle, le prix d'acquisition que vous proposez ainsi que les modalités de paiement envisagées. Vous devrez préciser le périmètre de la reprise (actifs, contrats, salariés) et détailler votre stratégie de redressement.
Le dossier doit être transmis au liquidateur judiciaire sous forme d'une « offre ferme et définitive », sans conditions suspensives. Les sources de financement (apport en fonds propres, prêt, aides de la BPI ou autre organisme) doivent être clairement identifiées.
La préparation d'une offre de rachat d'entreprise en liquidation judiciaire exige un dossier structuré et sans faille.
Les éléments essentiels incluent :
Une lettre d'intention d'achat détaillant votre projet de reprise
Un business plan complet avec compte d'exploitation prévisionnel sur 3 ans
Les preuves de financement (attestations bancaires, accord de prêt)
Un plan de continuation de l'activité
Une proposition de reprise du personnel
Votre lettre d'intention doit notamment présenter votre identité et votre expérience professionnelle, le prix d'acquisition que vous proposez ainsi que les modalités de paiement envisagées. Vous devrez préciser le périmètre de la reprise (actifs, contrats, salariés) et détailler votre stratégie de redressement.
Le dossier doit être transmis au liquidateur judiciaire sous forme d'une « offre ferme et définitive », sans conditions suspensives. Les sources de financement (apport en fonds propres, prêt, aides de la BPI ou autre organisme) doivent être clairement identifiées.
4. Critères d'évaluation par le tribunal pour accepter une offre
4. Critères d'évaluation par le tribunal pour accepter une offre
4. Critères d'évaluation par le tribunal pour accepter une offre
4. Critères d'évaluation par le tribunal pour accepter une offre
Le tribunal de commerce évalue chaque offre de reprise selon des critères précis et hiérarchisés. Les critères prioritaires sont le maintien durable de l'emploi, la pérennité de l'activité économique et la capacité financière du repreneur.
Éléments d'analyse du dossier :
Plan de reprise détaillé : stratégie de redressement et projections financières
Garanties financières : apports personnels, financements bancaires validés
Expérience professionnelle : expertise dans le secteur d'activité
Nombre d'emplois préservés : engagement ferme sur le maintien des postes
Le juge-commissaire examine particulièrement la solidité du projet de reprise, le montant proposé pour le règlement des créances ainsi que les perspectives de développement à long terme. Il porte aussi une attention particulière à la crédibilité du repreneur et de son équipe, éléments essentiels pour assurer la réussite et la pérennité de l'entreprise reprise.
La décision du tribunal s'appuie sur une analyse approfondie de ces éléments, privilégiant les offres équilibrées entre préservation des emplois et viabilité économique.
Le tribunal de commerce évalue chaque offre de reprise selon des critères précis et hiérarchisés. Les critères prioritaires sont le maintien durable de l'emploi, la pérennité de l'activité économique et la capacité financière du repreneur.
Éléments d'analyse du dossier :
Plan de reprise détaillé : stratégie de redressement et projections financières
Garanties financières : apports personnels, financements bancaires validés
Expérience professionnelle : expertise dans le secteur d'activité
Nombre d'emplois préservés : engagement ferme sur le maintien des postes
Le juge-commissaire examine particulièrement la solidité du projet de reprise, le montant proposé pour le règlement des créances ainsi que les perspectives de développement à long terme. Il porte aussi une attention particulière à la crédibilité du repreneur et de son équipe, éléments essentiels pour assurer la réussite et la pérennité de l'entreprise reprise.
La décision du tribunal s'appuie sur une analyse approfondie de ces éléments, privilégiant les offres équilibrées entre préservation des emplois et viabilité économique.
5. Avantages et risques du rachat en liquidation judiciaire
5. Avantages et risques du rachat en liquidation judiciaire
5. Avantages et risques du rachat en liquidation judiciaire
5. Avantages et risques du rachat en liquidation judiciaire
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire présente un double visage qu'il convient d'analyser avec attention.
Les avantages significatifs :
Un coût acquisition attractif avec des prix souvent inférieurs à la valeur réelle
L'accès immédiat à une clientèle déjà constituée
La reprise d'équipements et de matériel existants
La possibilité de négocier des conditions avantageuses avec les fournisseurs
L'absence de reprise du passif antérieur
Les risques à considérer :
Une image commerciale potentiellement dégradée
Des incertitudes sur la fidélité des clients existants
La nécessité d'une expertise juridique comptable approfondie
Un historique financier complexe à analyser
Un risque financier lié aux investissements de redressement
Une due diligence (audit approfondi) s'avère indispensable avant toute démarche d'acquisition :
Analyse approfondie des documents comptables
Vérification du statut juridique
Évaluation des actifs corporels et incorporels
Examen des contrats en cours
La réussite d'une telle opération repose sur une analyse détaillée de la situation et une stratégie de relance solide. Une due diligence rigoureuse permet d'identifier les forces exploitables et les faiblesses à corriger pour transformer cette acquisition en opportunité viable.

Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire présente un double visage qu'il convient d'analyser avec attention.
Les avantages significatifs :
Un coût acquisition attractif avec des prix souvent inférieurs à la valeur réelle
L'accès immédiat à une clientèle déjà constituée
La reprise d'équipements et de matériel existants
La possibilité de négocier des conditions avantageuses avec les fournisseurs
L'absence de reprise du passif antérieur
Les risques à considérer :
Une image commerciale potentiellement dégradée
Des incertitudes sur la fidélité des clients existants
La nécessité d'une expertise juridique comptable approfondie
Un historique financier complexe à analyser
Un risque financier lié aux investissements de redressement
Une due diligence (audit approfondi) s'avère indispensable avant toute démarche d'acquisition :
Analyse approfondie des documents comptables
Vérification du statut juridique
Évaluation des actifs corporels et incorporels
Examen des contrats en cours
La réussite d'une telle opération repose sur une analyse détaillée de la situation et une stratégie de relance solide. Une due diligence rigoureuse permet d'identifier les forces exploitables et les faiblesses à corriger pour transformer cette acquisition en opportunité viable.

6. Ressources pour trouver une entreprise à reprendre en liquidation judiciaire
6. Ressources pour trouver une entreprise à reprendre en liquidation judiciaire
6. Ressources pour trouver une entreprise à reprendre en liquidation judiciaire
6. Ressources pour trouver une entreprise à reprendre en liquidation judiciaire
La recherche d'entreprises en liquidation judiciaire s'effectue via plusieurs plateformes spécialisées :
Infogreffe : portail officiel des greffes des tribunaux de commerce, permet d'accéder aux annonces légales et aux procédures collectives en cours
CNAJMJ (Conseil National des Administrateurs Judiciaires et des Mandataires Judiciaires) : publie régulièrement des offres de cession d'entreprises
ASPAJ : plateforme dédiée aux professionnels du droit des entreprises en difficulté, répertorie les opportunités de reprise
BODACC (Bulletin Officiel des Annonces Civiles et Commerciales) : source officielle pour les publications légales obligatoires
La recherche d'entreprises en liquidation judiciaire s'effectue via plusieurs plateformes spécialisées :
Infogreffe : portail officiel des greffes des tribunaux de commerce, permet d'accéder aux annonces légales et aux procédures collectives en cours
CNAJMJ (Conseil National des Administrateurs Judiciaires et des Mandataires Judiciaires) : publie régulièrement des offres de cession d'entreprises
ASPAJ : plateforme dédiée aux professionnels du droit des entreprises en difficulté, répertorie les opportunités de reprise
BODACC (Bulletin Officiel des Annonces Civiles et Commerciales) : source officielle pour les publications légales obligatoires
Conclusion
Conclusion
Conclusion
Conclusion
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire représente une opportunité stratégique pour les entrepreneurs avisés. Cette démarche exige une préparation minutieuse et une expertise approfondie des aspects juridiques et financiers.
La réussite d'une telle opération repose sur trois piliers essentiels :
Une analyse approfondie du dossier et du potentiel de l'entreprise
Un montage financier solide et adapté
Un accompagnement expert tout au long du processus
Captain accompagne tous les repreneurs dans leurs projets de reprise : négociations, élaboration du prévisionnel et du business plan, recherche de financements, rédaction des actes juridiques, réalisation des démarches administratives, sécurisation des fonds.
Concrétisez votre projet de reprise d'entreprise avec Captain. Notre équipe d'experts vous guide dans cette transition stratégique pour transformer ce défi en réussite entrepreneuriale.
Le rachat d'une entreprise en liquidation judiciaire représente une opportunité stratégique pour les entrepreneurs avisés. Cette démarche exige une préparation minutieuse et une expertise approfondie des aspects juridiques et financiers.
La réussite d'une telle opération repose sur trois piliers essentiels :
Une analyse approfondie du dossier et du potentiel de l'entreprise
Un montage financier solide et adapté
Un accompagnement expert tout au long du processus
Captain accompagne tous les repreneurs dans leurs projets de reprise : négociations, élaboration du prévisionnel et du business plan, recherche de financements, rédaction des actes juridiques, réalisation des démarches administratives, sécurisation des fonds.
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