Fiscalité de la cession de droit au bail, à quoi s'attendre ?
Fiscalité de la cession de droit au bail, à quoi s'attendre ?
Fiscalité de la cession de droit au bail, à quoi s'attendre ?
Fiscalité de la cession de droit au bail, à quoi s'attendre ?
Identifiez les différentes taxes applicables et les conditions d'exonération possibles en fonction de votre situation.
Identifiez les différentes taxes applicables et les conditions d'exonération possibles en fonction de votre situation.
Juridique
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10
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min de lecture
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26 nov. 2024
26 nov. 2024


Juliette T.
Juliette T.
Co-fondatrice & rédactrice
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Sommaire
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Sommaire
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La cession de droit au bail est une opération courante dans le secteur immobilier commercial. Elle consiste à transférer les droits et obligations d'un locataire à un autre, souvent lors de la revente d'une entreprise ou d'un changement stratégique. Les enjeux fiscaux de cette transaction sont cruciaux et peuvent influencer la rentabilité de l'opération.
Savoir à quoi s'attendre en termes de fiscalité est essentiel pour éviter les mauvaises surprises. Cette fiscalité inclut divers éléments tels que l'imposition sur le revenu, les droits d'enregistrement et la TVA, chacun ayant ses propres règles et implications.
Dans cet article, vous découvrirez en détail les aspects fiscaux liés à la cession du droit au bail. Vous apprendrez à identifier les différentes taxes applicables, comprendre les conditions d'exonération possibles, et saisir l'importance d'un accompagnement professionnel pour naviguer efficacement dans cette complexité fiscale.
La cession de droit au bail est une opération courante dans le secteur immobilier commercial. Elle consiste à transférer les droits et obligations d'un locataire à un autre, souvent lors de la revente d'une entreprise ou d'un changement stratégique. Les enjeux fiscaux de cette transaction sont cruciaux et peuvent influencer la rentabilité de l'opération.
Savoir à quoi s'attendre en termes de fiscalité est essentiel pour éviter les mauvaises surprises. Cette fiscalité inclut divers éléments tels que l'imposition sur le revenu, les droits d'enregistrement et la TVA, chacun ayant ses propres règles et implications.
Dans cet article, vous découvrirez en détail les aspects fiscaux liés à la cession du droit au bail. Vous apprendrez à identifier les différentes taxes applicables, comprendre les conditions d'exonération possibles, et saisir l'importance d'un accompagnement professionnel pour naviguer efficacement dans cette complexité fiscale.
Comprendre la cession de droit au bail
Comprendre la cession de droit au bail
Comprendre la cession de droit au bail
Comprendre la cession de droit au bail
La cession de droit au bail se définit comme le transfert des droits et obligations locatives d'un locataire à un tiers. Ce mécanisme juridique permet au cédant, généralement un commerçant ou un entrepreneur, de transférer son droit d'occupation des locaux commerciaux à un nouveau preneur, souvent dans le cadre d'une vente d'entreprise.
Pour en savoir plus, consultez nos articles :
Processus de transfert de droits et obligations
Le processus de cession implique une série d'étapes structurées et réglementées qui garantissent la validité de la transaction.
Avant d'entamer la cession du droit au bail, plusieurs étapes préparatoires sont essentielles :
Évaluation initiale : analyse approfondie de la valeur du droit au bail et vérification de l'absence de restrictions à la cession
Due diligence : examen détaillé des documents juridiques, notamment le bail initial et ses avenants éventuels
Négociation des termes : discussion sur le prix, les modalités de paiement et les conditions particulières
Le processus de contractualisation se déroule ensuite en plusieurs étapes :
Accord entre les parties : le locataire actuel (cédant) et le nouvel acquéreur (cessionnaire) formalisent leur entente par la rédaction d'une promesse de cession, l'établissement des conditions suspensives et la fixation du calendrier de réalisation.
Consentement du bailleur : notification officielle au propriétaire, délai légal de réponse de 30 jours, possibilité pour le bailleur d'imposer certaines conditions.
La formalisation juridique nécessite plusieurs éléments :
La rédaction d'un acte authentique ou sous seing privé
L'enregistrement auprès des services fiscaux
La publication légale dans un journal d'annonces légales
Point important : La cession n'est opposable aux tiers qu'après l'accomplissement des formalités de publicité légale et d'enregistrement.
Il existe enfin des obligations à respecter après la cession :
Transfert effectif : remise des clés et état des lieux
Notification aux tiers : information des assureurs et des fournisseurs
Mise à jour administrative : modification du Registre du Commerce et des Sociétés
Rôle des parties impliquées
Trois parties principales sont concernées :
Le cédant : il cherche à transférer ses droits pour des raisons économiques ou stratégiques.
Le cessionnaire : il reprend les droits en espérant tirer profit de l'activité ou des locaux existants.
Le bailleur : il doit approuver la transaction et s'assurer que le cessionnaire respecte les termes du bail initial.
Cette opération complexe nécessite souvent l'intervention d'experts pour naviguer dans les aspects légaux et contractuels. Parfois, cela peut même conduire à des contentieux, nécessitant une intervention juridique spécialisée comme celle fournie par des avocats en droit des affaires. Ces experts garantissent ainsi une transition fluide et conforme aux attentes de toutes les parties.
Reprendre un droit au bail, quels sont les avantages ?
La reprise d'un droit au bail représente une opportunité stratégique majeure pour les entrepreneurs souhaitant développer leur activité commerciale. Cette solution offre de multiples avantages qu'il convient d'examiner en détail.
Sur le plan financier, la reprise d'un droit au bail permet de réaliser des économies significatives. Les entrepreneurs peuvent notamment réduire leurs frais d'installation initiale et bénéficier de conditions tarifaires avantageuses héritées de l'ancien bail. De plus, le prix de reprise est généralement plus accessible qu'un achat direct de fonds de commerce.
L'aspect commercial constitue un autre atout majeur. Le repreneur hérite d'un emplacement éprouvé commercialement, permettant une exploitation immédiate des locaux. Il peut également profiter d'une clientèle déjà établie et accéder à des zones commerciales prisées, parfois difficiles à intégrer par d'autres moyens.
Les avantages opérationnels sont également considérables. Le repreneur bénéficie des aménagements existants et d'une simplification des démarches administratives comparé à une création pure. Les contrats de services essentiels peuvent être maintenus, facilitant ainsi la transition.
En termes de flexibilité et de sécurité, le statut des baux commerciaux offre une protection juridique solide. Le repreneur dispose de la possibilité de modifier l'activité sous certaines conditions et conserve l'option de revendre ultérieurement le droit au bail, garantissant ainsi une certaine flexibilité entrepreneuriale.
Il est toutefois essentiel d'évaluer ces différents avantages en fonction du contexte spécifique de chaque projet et des objectifs commerciaux visés par l'entrepreneur.

La cession de droit au bail se définit comme le transfert des droits et obligations locatives d'un locataire à un tiers. Ce mécanisme juridique permet au cédant, généralement un commerçant ou un entrepreneur, de transférer son droit d'occupation des locaux commerciaux à un nouveau preneur, souvent dans le cadre d'une vente d'entreprise.
Pour en savoir plus, consultez nos articles :
Processus de transfert de droits et obligations
Le processus de cession implique une série d'étapes structurées et réglementées qui garantissent la validité de la transaction.
Avant d'entamer la cession du droit au bail, plusieurs étapes préparatoires sont essentielles :
Évaluation initiale : analyse approfondie de la valeur du droit au bail et vérification de l'absence de restrictions à la cession
Due diligence : examen détaillé des documents juridiques, notamment le bail initial et ses avenants éventuels
Négociation des termes : discussion sur le prix, les modalités de paiement et les conditions particulières
Le processus de contractualisation se déroule ensuite en plusieurs étapes :
Accord entre les parties : le locataire actuel (cédant) et le nouvel acquéreur (cessionnaire) formalisent leur entente par la rédaction d'une promesse de cession, l'établissement des conditions suspensives et la fixation du calendrier de réalisation.
Consentement du bailleur : notification officielle au propriétaire, délai légal de réponse de 30 jours, possibilité pour le bailleur d'imposer certaines conditions.
La formalisation juridique nécessite plusieurs éléments :
La rédaction d'un acte authentique ou sous seing privé
L'enregistrement auprès des services fiscaux
La publication légale dans un journal d'annonces légales
Point important : La cession n'est opposable aux tiers qu'après l'accomplissement des formalités de publicité légale et d'enregistrement.
Il existe enfin des obligations à respecter après la cession :
Transfert effectif : remise des clés et état des lieux
Notification aux tiers : information des assureurs et des fournisseurs
Mise à jour administrative : modification du Registre du Commerce et des Sociétés
Rôle des parties impliquées
Trois parties principales sont concernées :
Le cédant : il cherche à transférer ses droits pour des raisons économiques ou stratégiques.
Le cessionnaire : il reprend les droits en espérant tirer profit de l'activité ou des locaux existants.
Le bailleur : il doit approuver la transaction et s'assurer que le cessionnaire respecte les termes du bail initial.
Cette opération complexe nécessite souvent l'intervention d'experts pour naviguer dans les aspects légaux et contractuels. Parfois, cela peut même conduire à des contentieux, nécessitant une intervention juridique spécialisée comme celle fournie par des avocats en droit des affaires. Ces experts garantissent ainsi une transition fluide et conforme aux attentes de toutes les parties.
Reprendre un droit au bail, quels sont les avantages ?
La reprise d'un droit au bail représente une opportunité stratégique majeure pour les entrepreneurs souhaitant développer leur activité commerciale. Cette solution offre de multiples avantages qu'il convient d'examiner en détail.
Sur le plan financier, la reprise d'un droit au bail permet de réaliser des économies significatives. Les entrepreneurs peuvent notamment réduire leurs frais d'installation initiale et bénéficier de conditions tarifaires avantageuses héritées de l'ancien bail. De plus, le prix de reprise est généralement plus accessible qu'un achat direct de fonds de commerce.
L'aspect commercial constitue un autre atout majeur. Le repreneur hérite d'un emplacement éprouvé commercialement, permettant une exploitation immédiate des locaux. Il peut également profiter d'une clientèle déjà établie et accéder à des zones commerciales prisées, parfois difficiles à intégrer par d'autres moyens.
Les avantages opérationnels sont également considérables. Le repreneur bénéficie des aménagements existants et d'une simplification des démarches administratives comparé à une création pure. Les contrats de services essentiels peuvent être maintenus, facilitant ainsi la transition.
En termes de flexibilité et de sécurité, le statut des baux commerciaux offre une protection juridique solide. Le repreneur dispose de la possibilité de modifier l'activité sous certaines conditions et conserve l'option de revendre ultérieurement le droit au bail, garantissant ainsi une certaine flexibilité entrepreneuriale.
Il est toutefois essentiel d'évaluer ces différents avantages en fonction du contexte spécifique de chaque projet et des objectifs commerciaux visés par l'entrepreneur.

Imposition sur le revenu lors de la cession de droit au bail
Imposition sur le revenu lors de la cession de droit au bail
Imposition sur le revenu lors de la cession de droit au bail
Imposition sur le revenu lors de la cession de droit au bail
La fiscalité de la cession de droit au bail constitue un aspect crucial à considérer. Lorsqu'un locataire cède son droit au bail, le prix de cession perçu est considéré comme un revenu imposable. Cette imposition s'inscrit dans l'impôt sur le revenu des personnes physiques ou morales, selon le statut du cédant.
Nature de l'imposition
Impôt sur le revenu : la somme obtenue suite à la cession est intégrée dans les revenus du cédant pour l'année en cours. Elle est soumise aux mêmes taux d'imposition que les autres sources de revenus.
Traitement fiscal : pour les entreprises, cette somme peut être incluse dans les bénéfices imposables, affectant ainsi le calcul de l'impôt sur les sociétés.
Assimilation du prix de cession à un revenu imposable
Le prix de cession est directement assimilé à un revenu car il représente un gain réalisé par le transfert d'un actif immatériel. Ce gain doit donc être déclaré aux autorités fiscales compétentes.
Exemples illustratifs
Un particulier vend son droit au bail pour 50 000 €. Ce montant sera ajouté à ses autres revenus et soumis à l'impôt sur le revenu, selon sa tranche marginale d'imposition.
Une société réalise une cession pour 100 000 €. Cette somme est ajoutée aux profits annuels et impactera l'assiette fiscale pour l'impôt sur les sociétés.
Comprendre ces mécanismes est essentiel pour anticiper l'impact fiscal d'une telle transaction et préparer une déclaration fiscale précise.
La fiscalité de la cession de droit au bail constitue un aspect crucial à considérer. Lorsqu'un locataire cède son droit au bail, le prix de cession perçu est considéré comme un revenu imposable. Cette imposition s'inscrit dans l'impôt sur le revenu des personnes physiques ou morales, selon le statut du cédant.
Nature de l'imposition
Impôt sur le revenu : la somme obtenue suite à la cession est intégrée dans les revenus du cédant pour l'année en cours. Elle est soumise aux mêmes taux d'imposition que les autres sources de revenus.
Traitement fiscal : pour les entreprises, cette somme peut être incluse dans les bénéfices imposables, affectant ainsi le calcul de l'impôt sur les sociétés.
Assimilation du prix de cession à un revenu imposable
Le prix de cession est directement assimilé à un revenu car il représente un gain réalisé par le transfert d'un actif immatériel. Ce gain doit donc être déclaré aux autorités fiscales compétentes.
Exemples illustratifs
Un particulier vend son droit au bail pour 50 000 €. Ce montant sera ajouté à ses autres revenus et soumis à l'impôt sur le revenu, selon sa tranche marginale d'imposition.
Une société réalise une cession pour 100 000 €. Cette somme est ajoutée aux profits annuels et impactera l'assiette fiscale pour l'impôt sur les sociétés.
Comprendre ces mécanismes est essentiel pour anticiper l'impact fiscal d'une telle transaction et préparer une déclaration fiscale précise.
Droits d'enregistrement liés à la cession de droit au bail
Droits d'enregistrement liés à la cession de droit au bail
Droits d'enregistrement liés à la cession de droit au bail
Droits d'enregistrement liés à la cession de droit au bail
Les droits d'enregistrement constituent une composante essentielle de la fiscalité lors de la cession de droit au bail. Ces droits sont perçus par l'État lors de l'enregistrement de l'acte de cession et varient en fonction du montant de la transaction.
Taux applicables en fonction du montant de la cession
Les taux d'enregistrement sont structurés selon une échelle progressive :
0 % pour les cessions dont le montant est inférieur à un certain seuil, facilitant ainsi les transactions de faible envergure.
3 % s'applique généralement aux transactions situées dans une tranche intermédiaire, couvrant une large part des cessions courantes.
5 % pour les transactions dépassant un seuil plus élevé, ce qui vise les opérations d'envergure significative.
Détails des taux d'enregistrement pour une cession réussie
Pour optimiser votre transaction, il est crucial de comprendre les seuils précis associés à chaque taux :
Un seuil de valeur spécifique définit le passage entre chaque tranche. Par exemple, une transaction inférieure à 23 000 € peut être exonérée ou soumise à un taux réduit, tandis qu'une somme supérieure entraînera un taux plus important.
Cas particuliers et exemptions potentielles
Certaines situations peuvent donner lieu à des exemptions ou des réductions des droits d'enregistrement :
Les transmissions effectuées dans le cadre familial ou entre sociétés appartenant au même groupe peuvent bénéficier de régimes fiscaux spécifiques.
Des incitations fiscales sont parfois accordées pour encourager la conservation du patrimoine culturel ou historique.
Il est donc vital pour tout acteur impliqué dans une cession de droit au bail d'être informé des responsabilités fiscales liées aux droits d'enregistrement. Une consultation avec des experts fiscaux peut vous aider à naviguer ces complexités et maximiser les avantages fiscaux potentiels.

Les droits d'enregistrement constituent une composante essentielle de la fiscalité lors de la cession de droit au bail. Ces droits sont perçus par l'État lors de l'enregistrement de l'acte de cession et varient en fonction du montant de la transaction.
Taux applicables en fonction du montant de la cession
Les taux d'enregistrement sont structurés selon une échelle progressive :
0 % pour les cessions dont le montant est inférieur à un certain seuil, facilitant ainsi les transactions de faible envergure.
3 % s'applique généralement aux transactions situées dans une tranche intermédiaire, couvrant une large part des cessions courantes.
5 % pour les transactions dépassant un seuil plus élevé, ce qui vise les opérations d'envergure significative.
Détails des taux d'enregistrement pour une cession réussie
Pour optimiser votre transaction, il est crucial de comprendre les seuils précis associés à chaque taux :
Un seuil de valeur spécifique définit le passage entre chaque tranche. Par exemple, une transaction inférieure à 23 000 € peut être exonérée ou soumise à un taux réduit, tandis qu'une somme supérieure entraînera un taux plus important.
Cas particuliers et exemptions potentielles
Certaines situations peuvent donner lieu à des exemptions ou des réductions des droits d'enregistrement :
Les transmissions effectuées dans le cadre familial ou entre sociétés appartenant au même groupe peuvent bénéficier de régimes fiscaux spécifiques.
Des incitations fiscales sont parfois accordées pour encourager la conservation du patrimoine culturel ou historique.
Il est donc vital pour tout acteur impliqué dans une cession de droit au bail d'être informé des responsabilités fiscales liées aux droits d'enregistrement. Une consultation avec des experts fiscaux peut vous aider à naviguer ces complexités et maximiser les avantages fiscaux potentiels.

Plus-value réalisée lors de la cession : calcul et imposition sur les sociétés
Plus-value réalisée lors de la cession : calcul et imposition sur les sociétés
Plus-value réalisée lors de la cession : calcul et imposition sur les sociétés
Plus-value réalisée lors de la cession : calcul et imposition sur les sociétés
La plus-value lors d'une cession de droit au bail représente la différence entre le prix de vente et le prix d'acquisition initial du droit au bail. Ce calcul est essentiel pour déterminer l'implication fiscale de cette opération. Le traitement fiscal de la plus-value dépend en grande partie du statut juridique du cédant, notamment s'il s'agit d'une personne physique ou d'une société.
Impact fiscal pour les sociétés
Pour une société, la cession du droit au bail entraîne une imposition spécifique sur la plus-value réalisée. Cette plus-value peut être classée en deux catégories principales :
Plus-values à court terme : elles concernent les biens détenus depuis moins de deux ans par l'entreprise. Ces plus-values sont intégrées dans le résultat imposable de l'exercice et sont soumises à l'impôt sur les sociétés (IS) au taux normal applicable.
Plus-values à long terme : elles s'appliquent aux biens détenus depuis plus de deux ans. Ces plus-values bénéficient souvent d'un régime fiscal plus favorable avec des taux réduits, ce qui permet d'alléger la charge fiscale pour la société.
Régime fiscal des plus-values dans le cadre d'une cession de droit au bail
Les entreprises doivent comprendre le régime spécifique applicable à la fiscalité de la cession de droit au bail pour optimiser leur stratégie fiscale. Le taux d'imposition varie non seulement en fonction de la durée de détention mais également selon le type d'actif cédé.
Taux d'imposition
Pour les plus-values à court terme, le taux correspond généralement au taux standard de l'IS en vigueur, soit autour de 25 % en France.
Les plus-values à long terme peuvent bénéficier d'abattements spécifiques, réduisant ainsi le taux effectif d'imposition.
Cette distinction entre les types de plus-values et leur traitement fiscal est cruciale pour anticiper les charges fiscales liées à une cession. Les entreprises doivent évaluer attentivement ces aspects pour éviter des surprises désagréables lors du règlement des impôts liés à une telle transaction immobilière.
Les particularités fiscales autour des droits au bail nécessitent souvent l'assistance d'experts pour naviguer efficacement dans ces eaux complexes et maximiser les avantages financiers potentiels associés à chaque opération.
La plus-value lors d'une cession de droit au bail représente la différence entre le prix de vente et le prix d'acquisition initial du droit au bail. Ce calcul est essentiel pour déterminer l'implication fiscale de cette opération. Le traitement fiscal de la plus-value dépend en grande partie du statut juridique du cédant, notamment s'il s'agit d'une personne physique ou d'une société.
Impact fiscal pour les sociétés
Pour une société, la cession du droit au bail entraîne une imposition spécifique sur la plus-value réalisée. Cette plus-value peut être classée en deux catégories principales :
Plus-values à court terme : elles concernent les biens détenus depuis moins de deux ans par l'entreprise. Ces plus-values sont intégrées dans le résultat imposable de l'exercice et sont soumises à l'impôt sur les sociétés (IS) au taux normal applicable.
Plus-values à long terme : elles s'appliquent aux biens détenus depuis plus de deux ans. Ces plus-values bénéficient souvent d'un régime fiscal plus favorable avec des taux réduits, ce qui permet d'alléger la charge fiscale pour la société.
Régime fiscal des plus-values dans le cadre d'une cession de droit au bail
Les entreprises doivent comprendre le régime spécifique applicable à la fiscalité de la cession de droit au bail pour optimiser leur stratégie fiscale. Le taux d'imposition varie non seulement en fonction de la durée de détention mais également selon le type d'actif cédé.
Taux d'imposition
Pour les plus-values à court terme, le taux correspond généralement au taux standard de l'IS en vigueur, soit autour de 25 % en France.
Les plus-values à long terme peuvent bénéficier d'abattements spécifiques, réduisant ainsi le taux effectif d'imposition.
Cette distinction entre les types de plus-values et leur traitement fiscal est cruciale pour anticiper les charges fiscales liées à une cession. Les entreprises doivent évaluer attentivement ces aspects pour éviter des surprises désagréables lors du règlement des impôts liés à une telle transaction immobilière.
Les particularités fiscales autour des droits au bail nécessitent souvent l'assistance d'experts pour naviguer efficacement dans ces eaux complexes et maximiser les avantages financiers potentiels associés à chaque opération.
TVA et sa pertinence dans la cession du droit au bail : ce qu'il faut savoir !
TVA et sa pertinence dans la cession du droit au bail : ce qu'il faut savoir !
TVA et sa pertinence dans la cession du droit au bail : ce qu'il faut savoir !
TVA et sa pertinence dans la cession du droit au bail : ce qu'il faut savoir !
TVA dans le cadre d'une cession est un aspect crucial à comprendre pour les parties impliquées. En matière de fiscalité, certaines opérations de cession de droit au bail peuvent être assujetties à la TVA. Cette taxation dépend principalement des conditions spécifiques entourant l'opération :
Conditions d'assujettissement : la cession est soumise à la TVA si elle est réalisée par une personne ou une entité assujettie à la TVA, et que cette opération entre dans le cadre de l'activité économique habituelle du cédant. Par exemple, un commerçant qui cède son droit au bail dans le cadre de sa cessation d'activité peut voir cette transaction soumise à la TVA.
Exemptions possibles : certaines activités bénéficient d'exemptions. Par exemple, les transactions réalisées par des particuliers non professionnels ne sont généralement pas soumises à la TVA. De plus, il existe des cas où des exonérations spécifiques s'appliquent en fonction du type d'activité exercée par le locataire actuel ou futur.
Il est fondamental pour les parties concernées de bien comprendre ces nuances fiscales pour éviter toute surprise désagréable lors de la conclusion de l'accord. Consultations avec des experts fiscaux peuvent également aider à naviguer efficacement dans ces complexités.
TVA dans le cadre d'une cession est un aspect crucial à comprendre pour les parties impliquées. En matière de fiscalité, certaines opérations de cession de droit au bail peuvent être assujetties à la TVA. Cette taxation dépend principalement des conditions spécifiques entourant l'opération :
Conditions d'assujettissement : la cession est soumise à la TVA si elle est réalisée par une personne ou une entité assujettie à la TVA, et que cette opération entre dans le cadre de l'activité économique habituelle du cédant. Par exemple, un commerçant qui cède son droit au bail dans le cadre de sa cessation d'activité peut voir cette transaction soumise à la TVA.
Exemptions possibles : certaines activités bénéficient d'exemptions. Par exemple, les transactions réalisées par des particuliers non professionnels ne sont généralement pas soumises à la TVA. De plus, il existe des cas où des exonérations spécifiques s'appliquent en fonction du type d'activité exercée par le locataire actuel ou futur.
Il est fondamental pour les parties concernées de bien comprendre ces nuances fiscales pour éviter toute surprise désagréable lors de la conclusion de l'accord. Consultations avec des experts fiscaux peuvent également aider à naviguer efficacement dans ces complexités.
Exonérations fiscales possibles lors d'une cession de droit au bail : conditions à remplir !
Exonérations fiscales possibles lors d'une cession de droit au bail : conditions à remplir !
Exonérations fiscales possibles lors d'une cession de droit au bail : conditions à remplir !
Exonérations fiscales possibles lors d'une cession de droit au bail : conditions à remplir !
Lorsqu'il s'agit de la cession de droit au bail, il existe des exonérations fiscales qui peuvent alléger considérablement la charge fiscale. Il est crucial de comprendre ces exonérations pour optimiser vos démarches.
Types d'exonérations
Exonérations totales ou partielles : Celles-ci dépendent principalement du chiffre d'affaires annuel ou de la durée d'activité de l'entité concernée. Par exemple, une entreprise ayant un chiffre d'affaires inférieur à certains seuils peut bénéficier d'une exonération partielle, voire totale.
Conditions à respecter
Chiffre d'affaires annuel : Les entreprises avec un chiffre d'affaires réduit peuvent prétendre à des exonérations spécifiques.
Durée d'activité : Certaines exonérations sont applicables si l'entreprise a fonctionné pendant une durée déterminée avant la cession du droit au bail.
Il est essentiel pour les entrepreneurs et les dirigeants de petites et moyennes entreprises (PME) de se tenir informés de ces conditions avant toute opération. Cela permet non seulement de maximiser les avantages fiscaux potentiels mais aussi d'éviter des erreurs coûteuses. Pour une assistance sur mesure, Captain propose des conseils spécialisés et un accompagnement personnalisé, garantissant une transition fluide et avantageuse.
Lorsqu'il s'agit de la cession de droit au bail, il existe des exonérations fiscales qui peuvent alléger considérablement la charge fiscale. Il est crucial de comprendre ces exonérations pour optimiser vos démarches.
Types d'exonérations
Exonérations totales ou partielles : Celles-ci dépendent principalement du chiffre d'affaires annuel ou de la durée d'activité de l'entité concernée. Par exemple, une entreprise ayant un chiffre d'affaires inférieur à certains seuils peut bénéficier d'une exonération partielle, voire totale.
Conditions à respecter
Chiffre d'affaires annuel : Les entreprises avec un chiffre d'affaires réduit peuvent prétendre à des exonérations spécifiques.
Durée d'activité : Certaines exonérations sont applicables si l'entreprise a fonctionné pendant une durée déterminée avant la cession du droit au bail.
Il est essentiel pour les entrepreneurs et les dirigeants de petites et moyennes entreprises (PME) de se tenir informés de ces conditions avant toute opération. Cela permet non seulement de maximiser les avantages fiscaux potentiels mais aussi d'éviter des erreurs coûteuses. Pour une assistance sur mesure, Captain propose des conseils spécialisés et un accompagnement personnalisé, garantissant une transition fluide et avantageuse.
Responsabilités fiscales du nouveau locataire : ce qu'il doit savoir !
Responsabilités fiscales du nouveau locataire : ce qu'il doit savoir !
Responsabilités fiscales du nouveau locataire : ce qu'il doit savoir !
Responsabilités fiscales du nouveau locataire : ce qu'il doit savoir !
Lorsqu'un nouveau locataire acquiert un droit au bail, plusieurs responsabilités fiscales doivent être prises en compte. L'une des principales obligations concerne les droits d'enregistrement. Ces droits, qui sont des taxes perçues par l'État lors de la cession d'un bien immobilier ou d'un droit au bail, varient en fonction du montant de la transaction.
Obligations fiscales spécifiques
Droits d'enregistrement : le nouvel acquéreur est tenu de payer ces droits dans les délais impartis. Le taux applicable dépend du montant de la cession et peut varier entre 0 %, 3 % et 5 %.
Déclaration fiscale : il est essentiel que le nouvel acquéreur déclare correctement la transaction auprès des autorités fiscales pour éviter toute pénalité ou litige futur. Pour ceux qui ont des biens immobiliers en France, il est crucial de comprendre comment cela impacte leur situation fiscale, ce qui peut être exploré davantage dans des ressources comme celles fournies par le site impots.gouv.fr.
Comprendre ces aspects essentiels permet au nouveau locataire de s'acquitter de ses obligations en toute conformité avec la réglementation fiscale en vigueur, garantissant ainsi une transition fluide et sans problème fiscal.
Lorsqu'un nouveau locataire acquiert un droit au bail, plusieurs responsabilités fiscales doivent être prises en compte. L'une des principales obligations concerne les droits d'enregistrement. Ces droits, qui sont des taxes perçues par l'État lors de la cession d'un bien immobilier ou d'un droit au bail, varient en fonction du montant de la transaction.
Obligations fiscales spécifiques
Droits d'enregistrement : le nouvel acquéreur est tenu de payer ces droits dans les délais impartis. Le taux applicable dépend du montant de la cession et peut varier entre 0 %, 3 % et 5 %.
Déclaration fiscale : il est essentiel que le nouvel acquéreur déclare correctement la transaction auprès des autorités fiscales pour éviter toute pénalité ou litige futur. Pour ceux qui ont des biens immobiliers en France, il est crucial de comprendre comment cela impacte leur situation fiscale, ce qui peut être exploré davantage dans des ressources comme celles fournies par le site impots.gouv.fr.
Comprendre ces aspects essentiels permet au nouveau locataire de s'acquitter de ses obligations en toute conformité avec la réglementation fiscale en vigueur, garantissant ainsi une transition fluide et sans problème fiscal.
Conclusion : conseils pour une cession réussie du droit au bail
Conclusion : conseils pour une cession réussie du droit au bail
Conclusion : conseils pour une cession réussie du droit au bail
Conclusion : conseils pour une cession réussie du droit au bail
Naviguer dans la fiscalité de la cession de droit au bail peut s'avérer complexe. Les lois fiscales évoluent, et chaque transaction comporte ses propres particularités. Consulter des experts juridiques et fiscaux devient crucial pour sécuriser cette opération délicate.
Complexité des aspects fiscaux : Les spécialistes possèdent une connaissance approfondie des réglementations en vigueur. Ils peuvent anticiper les complications fiscales et juridiques, vous permettant d'éviter les erreurs coûteuses.
Sécurisation de l'opération : Pour le cédant comme pour le cessionnaire, un conseil avisé garantit que tous les aspects légaux sont respectés, minimisant ainsi les risques de litiges futurs.
Captain offre un service d'accompagnement personnalisé pour faciliter ces démarches, aidant ainsi les dirigeants à céder leur entreprise en toute sérénité. Contactez-nous pour déléguer la vente de votre droit au bail !
Naviguer dans la fiscalité de la cession de droit au bail peut s'avérer complexe. Les lois fiscales évoluent, et chaque transaction comporte ses propres particularités. Consulter des experts juridiques et fiscaux devient crucial pour sécuriser cette opération délicate.
Complexité des aspects fiscaux : Les spécialistes possèdent une connaissance approfondie des réglementations en vigueur. Ils peuvent anticiper les complications fiscales et juridiques, vous permettant d'éviter les erreurs coûteuses.
Sécurisation de l'opération : Pour le cédant comme pour le cessionnaire, un conseil avisé garantit que tous les aspects légaux sont respectés, minimisant ainsi les risques de litiges futurs.
Captain offre un service d'accompagnement personnalisé pour faciliter ces démarches, aidant ainsi les dirigeants à céder leur entreprise en toute sérénité. Contactez-nous pour déléguer la vente de votre droit au bail !
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Démission pour reprise d'entreprise : quels sont vos droits ?
19 nov. 2024
La démission pour reprise d'entreprise permet, sous certaines conditions, d'obtenir des droits ainsi qu'un accompagnement professionnel.
Délai d'opposition à la cession de fonds de commerce : comment fonctionne-t-il ?
15 nov. 2024
Le délai d'opposition à la cession de fonds de commerce est une étape à ne pas négliger lors d'une transmission d'entreprise. Découvrez comment il fonctionne et pourquoi il est important !
Comment créer une holding pour racheter une société ?
12 nov. 2024
Fonctionnement, structures juridiques disponibles, avantages fiscaux : découvrez pourquoi et comment créer une holding pour racheter une société.
Modèle d'annonce légale pour la cession de fonds de commerce : quelles sont les mentions obligatoires ?
8 nov. 2024
Notre guide détaillé sur les mentions obligatoires à inclure dans une annonce légale lors de la cession d'un fonds de commerce.
Acheter des parts d'une entreprise en ligne : le guide 2024
6 nov. 2024
Ce guide vous délivre toutes les bonnes pratiques pour acheter des parts d'une entreprise en ligne avec stratégie et en toute sécurité.
Comment faire une simulation de plus-value sur la cession de votre entreprise ?
1 nov. 2024
Découvrez tous nos conseils pour estimer la plus-value de votre cession d'entreprise dans cet article !
Modèle de lettre : information de cession d'entreprise
29 oct. 2024
Découvrez notre modèle et tout nos conseils pour rédiger votre lettre d'information de cession d'entreprise.
Comment préparer un business plan de reprise d'entreprise ?
25 oct. 2024
Planifiez votre reprise avec une vision claire grâce à notre guide détaillé : rédigez un business plan complet, solide et convaincant !
Murs commerciaux à vendre avec locataire : quelles sont les procédures ?
22 oct. 2024
Vous souhaitez vendre vos murs commerciaux avec un locataire ? Voici toutes les obligations à respecter dans ce cas précis !
Comment fonctionne le séquestre lors de la cession d'un fonds de commerce ?
18 oct. 2024
Le séquestre n'est pas obligatoire, mais fortement recommandé ! On vous dit pourquoi dans cet article...
Comment trouver un associé investisseur pour créer ou reprendre une entreprise ?
10 janv. 2025
“Recherche associé investisseur désespérément” : n’en dites pas plus ! Voici toutes les clés pour trouver le partenaire idéal.
Comment obtenir une aide pour reprendre un commerce en zone rurale ?
11 oct. 2024
Retrouvez tous les dispositifs d'accompagnement et les aides financières utiles pour reprendre un commerce dans une zone rurale.
Combien vendre son entreprise : tout ce qu'il faut prendre en compte pour l'estimation
9 oct. 2024
Voici votre guide complet pour déterminer combien vendre votre entreprise grâce à une méthode adaptée !
Vendre une entreprise individuelle : mode d'emploi
4 oct. 2024
Cet article vise à vous fournir un guide complet sur la vente d'une entreprise individuelle. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour vous préparer dans les meilleures conditions possibles.
Comment sont calculés les honoraires d'un avocat pour la cession de fonds de commerce ?
2 oct. 2024
Lorsque vous envisagez de céder ou de reprendre une entreprise, des professionnels de la transmission d'entreprise, il est important de prévoir leurs honoraires dans votre budget !
Peut-on vendre son commerce au bout de 3 ans ?
27 sept. 2024
Est-il possible de vendre après une durée d'exploitation de seulement 3 ans ? Découvrez vos obligations, vos contraintes et des conseils dans cet article.
Entreprise à vendre à 1 euro symbolique : bonne ou mauvaise opportunité ?
15 janv. 2025
Acheter une entreprise à vendre à 1 euro symbolique est une proposition intrigante pour de nombreux entrepreneurs. Bonne ou mauvaise opportunité ? Découvrez nos conseils sur ce genre d'opérations.
BPI cession entreprise : quelles sont les aides disponibles ?
20 sept. 2024
Découvrez comment la BPI peut vous accompagner dans votre projet de cession ou de reprise.
Cession de droit au bail et conclusion d’un nouveau bail : quelle différence ?
17 sept. 2024
Vous souhaitez louer des locaux commerciaux pour installer votre activité ? Vous posséder un local commercial et votre locataire s'en va ? Découvrez les avantages et les inconvénients pour ces deux options.
Reprise de PME : une bonne alternative à la création d'entreprise ?
13 sept. 2024
Vous envisagez de créer votre entreprise ? Avez-vous déjà pensé à la reprise ? Découvrez dans cet article tous les avantages du reprenariat et construisez votre projet de reprise.
Je n'arrive pas à vendre mon fonds de commerce : que faire ?
10 sept. 2024
Vendre votre fonds de commerce s'avère plus difficile que prévu ? Ne vous découragez pas. Voici quelques conseils pour changer votre approche et attirer davantage de repreneurs potentiels.
Les 5 étapes clés de l'acquisition d'une entreprise
8 sept. 2024
Découvrez tous nos conseils sur les 5 étapes clés de l'acquisition d'une entreprise. Que vous soyez entrepreneur débutant ou expérimenté, il est primordial de préparer tous ces aspects pour une acquisition réussie !
Vendre son entreprise avant la retraite : comment s'y préparer ?
5 sept. 2024
Vendre son entreprise avant la retraite est une étape cruciale pour tout entrepreneur souhaitant sécuriser son avenir financier et personnel. Anticiper cette transition permet non seulement de maximiser la valeur de l'entreprise mais aussi d'assurer une transmission sereine et efficace.
Un particulier peut-il acheter un fonds de commerce ?
30 août 2024
Acheter un fonds de commerce implique de respecter des conditions légales et des démarches précises. Cet article détaille le processus, les risques et recommande un accompagnement professionnel.
Transmission à titre gratuit d’une entreprise individuelle, c’est possible ?
27 août 2024
La transmission gratuite d'une entreprise individuelle est complexe et nécessite de comprendre les enjeux fiscaux et juridiques. Ce guide couvre les types, la fiscalité et les avantages.
Une mairie peut-elle acheter un fonds de commerce ?
23 août 2024
Cet article explore en détail la possibilité pour une mairie d'acheter un fonds de commerce et les implications de cette démarche pour les communes et les commerçants locaux.
Le rachat du stock fait-il partie du fonds de commerce ?
20 août 2024
Comment évaluer et vendre son stock dans le cadre de la vente de fonds de commerce ? Valorisation, contraintes réglementaires, conseils, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le rachat du stock d’un fonds de commerce dans cet article.
Comment trouver un associé grâce aux réseaux sociaux ?
15 août 2024
Découvrez les différentes stratégies possibles pour trouver un associé qui vous correspond grâce aux réseaux sociaux.
Comment vendre un droit au bail ?
13 août 2024
Vous souhaitez changer de local et vendre votre droit au bail ? Découvrez toutes les étapes pour réussir votre vente sereinement dans cet article.
Comment réussir à vendre son entreprise en difficulté ?
9 août 2024
Vendre son entreprise en difficulté représente une chance de donner un nouvel élan à l'entreprise, de conserver les emplois et le savoir-faire accumulé, et de régler une partie des dettes. Découvrez comment faire dans cet article.
Reprise d'entreprise sans apport : guide des solutions financières
6 août 2024
Il existe plusieurs solutions pour reprendre une entreprise sans apport. Voici tous les éléments sur lesquels vous appuyer pour monter votre projet de reprise. Sélectionnez les plus pertinents pour vous et lancez-vous !
Peut-on vendre son entreprise et rester salarié ?
2 août 2024
La transition lors d'une transmission d'entreprise est une étape extrêmement importante, à ne pas négliger. En tant que cédant, il est essentiel de définir de manière claire et avantageuse pour toutes les parties votre place vis-à-vis de votre entreprise après la vente.
Comment fonctionne la solidarité fiscale lors de la cession de fonds de commerce ?
1 août 2024
Tout comprendre sur la solidarité fiscale et ce qu'elle implique pour l'acheteur et le vendeur dans le cadre d'une cession de fonds de commerce.
Peut-on faire l'achat d'une licence IV sans fonds de commerce ?
26 juil. 2024
Nous décortiquons pour vous toutes les étapes et les défis de l'achat d'une licence IV, avec ou sans fonds de commerce.
Démissionner pour créer son entreprise : ce qu'il faut savoir avant de se lancer
22 juil. 2024
Démissionner pour créer son entreprise peut être une étape impressionnante dans la vie d'un nouvel entrepreneur. Découvrez toutes les clés pour vous lancer en toute sérénité !
Tout ce qu'il faut savoir sur l'achat de titres d'une société
18 juil. 2024
Vous envisagez de reprendre une entreprise et vous pensez racheter les titres d'une société ? Voici tout ce qu'il faut savoir avant de vous lancer, pour prendre la meilleure décision pour votre business.
Vendre un local occupé : quelles sont les contraintes ?
16 juil. 2024
Vendre un local occupé peut être un avantage sur la marché de la cession de murs commerciaux. Cependant, il y a quelques contraintes à respecter.
Peut-on vendre son entreprise sans payer d’impôts ?
11 juil. 2024
Peut-on vendre son entreprise sans payer d'impôts ? La réponse n'est pas simple. Voyons ensemble les solutions qui s'offrent à vous.
Tout savoir sur le rachat d'une entreprise en liquidation
9 juil. 2024
Vous envisagez de racheter une entreprise en liquidation ? On vous explique comment transformer ce challenge en opportunité.
Acheter un local commercial pour le louer : quelles sont les démarches ?
5 juil. 2024
Acheter un local commercial pour le louer peut être un excellent investissement, à condition de bien choisir les murs et de trouver le bon locataire. On vous explique tout dans cet article.
Cession d'entreprise : que faire de la trésorerie ?
4 juil. 2024
Pour maximiser le succès de votre cession, il est indispensable d'anticiper et de gérer efficacement votre trésorerie tout au long du processus.Voyons ensemble comment dans cet article !
Commerce à reprendre dans un village : guide complet et annonces
3 juil. 2024
Dans cet article, nous vous offrons un guide exhaustif et des annonces sélectionnées pour faciliter votre projet de reprise d'un commerce en village.
Quel est le montant des frais de notaire pour l’achat d’un fonds de commerce ?
2 juil. 2024
Lors de l'achat d'un fonds de commerce, il est essentiel d'anticiper les dépenses annexes telles que les frais de notaire. Pour préparer au mieux votre budget, voici un rapide décryptage des frais qui peuvent l'impacter !
Faut-il faire appel à un avocat pour la cession d'un fonds de commerce ?
21 juin 2024
Un avocat spécialisé en cession de fonds de commerce à vos côté peut-être un véritable atout ! En effet, il offre une expertise indispensable à chaque étape du processus, garantissant une transition fluide et sécurisée pour toutes les parties impliquées.
Murs commerciaux à vendre : comment trouver la meilleure opportunité ?
20 juin 2024
Vous recherchez des murs commerciaux à vendre ? Découvrez toutes les bonnes pratiques pour réaliser un investissement rapide et sécurisé grâce aux conseils de Captain.
Recherche associé : comment négocier efficacement les termes et conditions avec votre futur partenaire ?
19 juin 2024
Découvrez dans cet article comment assurer la pérénité de votre association avec votre partenaire en préparant dès le début un pacte d'associés.
« Urgence : entreprise à céder, cause retraite ! », conseils pour une cession rapide
6 juin 2024
Céder son entreprise lorsque l’on part à la retraite est une transition qu’il faut préparer. Voyons ensemble comment anticiper cette transmission est être accompagné pour une vente réussie.
La recherche d'associé comme stratégie de croissance : comment un partenariat peut stimuler votre entreprise ?
3 juin 2024
La recherche d'associé est une stratégie de croissance qui peut s’avérer extrêmement bénéfique pour le développement de votre entreprise. Voyons ensemble comment trouver l'associé idéal pour votre entreprise.
Comment acheter un fonds de commerce sans apport ?
27 mai 2024
Il existe de nombreuses solutions pour reprendre un fonds de commerce sans apport ! Découvrez comment les utiliser et les combiner dans cet article.
Où trouver une liste d’entreprises en difficulté à reprendre ?
23 mai 2024
Comment trouver les meilleures offres d’entreprises en difficulté à reprendre ? Découvrez comment accéder aux listes des meilleures offres et réussir votre acquisition.
Peut-on vendre une entreprise avec des dettes ?
21 mai 2024
Peut-on vendre une entreprise avec des dettes ? Quelles sont les responsabilités du cédant, de l’acheteur ? Dans cet article, découvrez toutes les obligations et conséquences de la vente d’une entreprise endettée.
Vendre des Murs Commerciaux : Le Guide Ultime de 2024
9 mai 2024
Découvrez dans ce guide tout ce qu’il faut savoir pour vendre vos murs commerciaux : estimation, recherche d’acheteur, démarches juridiques, etc.
Simulateur de cession de fonds de commerce : comment obtenir une estimation rapide ?
9 mai 2024
Obtenir une valorisation rapide et gratuite en utilisant un simulateur de cession de fonds commerce. À qui s’adresser ? Comment ça marche ? Quels critères sont pris en compte ?
Comment rédiger une lettre d'intention d'achat d'entreprise ?
9 mai 2024
Tous les conseils et un modèle gratuit pour rédiger votre lettre d’intention d’achat entreprise. Voici les éléments essentiels à inclure dans votre lettre…
Recherche associé : comment trouver votre partenaire idéal ?
9 mai 2024
"Recherche associé désespérément" : trouver le business partner idéal n'est pas une mince affaire... Voici où le trouver et surtout comment bien le choisir !
Créer son entreprise en étant salarié : ce qu’il faut savoir
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Tout ce qu’il faut savoir pour créer son entreprise en étant salarié : conditions fiscales, temps aménagé, aides financières, etc.
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